Publié le 31/12/2013
Femme, amour, désert, mirage, soif, sueur... où suis-je?Publié le 25/12/2013
J’ai sans doute trop écrit... Ainsi, je me suis souvent perdu dans des paysages de nulle réalité. C’est ce qui explique que mes pensées semblent ne ressembler à rien. Au vide. Au néant. Que Dieu vienne à mon secours!Publié le 28/11/2013
Où est-il ce dieu plein de miséricorde? Nous sommes sur terre pour faire des expériences, disent certains. Subir. Évoluer. En avant. En arrière. Les philosophies sont nombreuses. Trop nombreuses. Elles camouflent la vérité. La vérité est une disent les adeptes de l’unique. La vérité a une double face pour l’homme qui mène une double vie, plus la nuit que le jour. La littérature est là pour témoigner. Avec quelques siècles de retard. Écrire doit être plus un vomissement qu’un repentir. La littérature traditionnelle a pour soeur jumelle la logique. L’erreur est dans la tradition.Publié le 26/11/2013
Il était une fois... Et voilà que ça recommence! Un récit est en gestation. Une histoire. Et quelle histoire! Celle d’un homme et d’une femme? Ne soyons pas pressés. Tout dévoiler au début supprime l’effet de surprise. Et la surprise, c’est ce qu’il y a de plus palpitant en ce bas monde. Alors patience, patience, il faut que je trouve les mots-qu’il-faut pour entrer dans le jeu du récit avec noblesse et élégance.Publié le 18/12/2015
Dieu créa l’homme, l’homme le recréa. Mais c’est un blasphème! diraient les esprits ultraconservateurs, généralement munis d’une longue barbe noire, rousse mais jamais blanche. Ces individus peu fréquentables caressent plus souvent leur kalachnikov que leur livre sacré. C’est pour ces raisons là que je loge actuellement dans un bunker de l’armée... (extrait)Publié le 30/11/2013
Je rencontre par hasard le plus inimaginable de mes amis d’enfance. Nous nous n’étions pas vus depuis plus de vingt ans. Après les éternelles questions sans queue ni tête, nous décidons d’aller boire un verre... Nous entrons dans un bar. Il prend un whisky, moi un pastis avec de la grenadine.Publié le 15/12/2013
Je suis un homme aux idées larges. J’espère l’être. Aux idées sans limites... Construire. Détruire. Reconstruire. Imaginer. Oser. Se lancer. Effacer. Reconnaître. J’aime ces verbes. Il font parti de ma philosophie de base. J’étais un brillant élève en mathématiques. Et le hasard a voulu que je m’éloigne de ces sciences. Je suis diplômé en métaphysique expérimentale. Et j’occupe actuellement le poste de responsable d’un service très spécial de l’état qui consiste à archiver les thèses non reconnues ou considérées comme étant de fausses thèses ou des thèses absurdes.Publié le 02/12/2013
Un jour, dans le désert du Hedjaz... Le chamelier: Si seulement j'avais un ami Pour échanger quelques mots Ou tout simplement un ennemi Courant derrière mon dos La vie serait moins monotone Mais d'ici à la Mecque Tout est sec Pas le moindre fruit Pas le moindre bruit A en mourir je m'ennuie Même dans mes rêves la nuit Bref c’est ma destinée Puisque bédouin je suis néPublié le 25/12/2013
Au coeur du silence. Au coeur du désert. J’aimerais être en plein désert face à l'infini. J 'aimerais ne plus devoir rougir de tristesse, pleurer de honte ou rire de colère. J’aimerais être en plein désert à l'ombre sous un palmier et regarder l’immensité du ciel. Un ciel bleu. Bleu ciel. Pur. Immaculé. J’aimerais vivre une vie pleine d'amour, sans abri, à l'abri des bruits de la ville et de l'enfer des hommes. J’aimerais aimer une fois pour toutes convenablement, dignement... Montre-moi le chemin. Montre-moi le chemin du désert, ange du silence, mon ange!Publié le 01/01/2014
Une nuit. Quelque part entre ciel et terre, je me trouvai face à une belle femme d’une cinquantaine d’années qui me proposa de la suivre chez elle.Publié le 26/11/2013
Blessure. Morale. Vanité. La société y est pour quelque chose. J'ai acheté une photographie d'une petite fille. Plus exactement une carte postale. Pourquoi cet achat? Mystère. Explicable pour certains. Inexplicable pour moi qui vis dans l'incertitude. L'image transpire de vieillesse. Transpire de tristesse. Le temps. Toujours le temps! Quel semeur de zizanie! Où suis je? Le soleil brille. Il fait froid. La rue est belle à regarder. Du jamais vu. Qui aurait...Publié le 02/12/2013
Avertissement! Certains passages de ce récit risquent de heurter la sensibilité de certaines personnes. C’est pourquoi, je conseille fortement aux âmes sensibles de ne pas se lancer dans la lecture de cette ouvrage... Cette histoire est une histoire vraie ou presque vraie. Pour être plus précis, je dirais: certains moments de cette histoire sont tellement vrais que l’on pourrait croire qu’ils sont faux ou qu’ils viennent d’un autre monde, une monde purement fictif. La réalité est parfois absurde! Mais la fiction n’arrive jamais à la dépasser.Publié le 30/11/2013
Mon nom est Pier Bergsma. Je suis marchand de vent. En gros. Et au détail. Je vends du vent du matin au soir grâce à un moulin que j’ai fabriqué. De mes propres mains. Grâce à ma tête. Bourrée de cellules hors norme. Ma femme est marchande de silence. Elle gagne moins que moi parce que le silence qu’elle met en boîte n’est pas encore à la mode. Ça viendra. Ça viendra le jour où les gourmands de bruit seront atteints de bruitophobie. Patience. Mes affaires marchent bien. Très bien. Parfois trop bien. L’été surtout quand les plages sont bondées. Quand on étouffe faute d’espace.Publié le 30/11/2013
Je veux être. Ceci. Ou cela. Ou ceci et cela. Pour rire. Ou pour pleurer. Ou les deux à la fois. J'y crois. C'est possible. Bien entendu j'y crois. À quoi ? À tout et à rien. Ou à tout ou à rien. Ou personne. Ou tout le monde. Ça tourne dans ma tête. Car elle est en fête cette tête qui tourne dans ma tête. Vraiment ? Je n'en sais rien. Ou à peine. Parfois trop. Trop souvent. Ou pas assez. Assez, assez ! Il faut que j'aille travailler.Publié le 02/03/2014
Au commencement, bien que ce terme soit très vague, l’homme était un être aux structures psychiques proches, voire même identiques, de l’animal le moins rusé de la planète.