Publié le 06/12/2013
L'histoire véridique d'une petite fille vaincue par la folie de la Nature en Amérique Latine, il y a 20/25 ans. La Nature peut être aussi douce que cruelle...Publié le 05/12/2013
Un hommage rendu à l'endroit d'un homme, humble et digne, parvenu au soir de son existence.Publié le 05/12/2013
À force de renier ce qui constitue le bonheur quotidien des hommes, je me sens devenu un « loup des steppes » inapte à frayer avec mes semblables. Ce poème je l’avais écrit en 1986 à Rabat , un soir à la cité universitaire « Suissi II » après avoir terminé la lecture du roman « Le Loup des steppes » de Hermann Hesse publié pour la première fois en 1927Publié le 05/12/2013
Un acrostiche, du grec akrostikhos (akros, haut, élevé et stichos, le vers), est un poème, une strophe ou une série de strophes fondés sur une forme poétique consistant en ce que, lues verticalement de haut en bas, la première lettre ou, parfois, les premiers mots d'une suite de vers composent un mot ou une expression en lien avec le poème. Je vous invite à découvrir un acrostiche dans ce poeme !!Publié le 05/12/2013
J’ai cherché une pensée. Elle est rentrée enveloppée d’une nuit majeure. Je m’y suis penché avant, elle n’est donc pas venue complètement par hasard...Publié le 02/12/2013
La nostalgie ou « mal du pays » vient du grec ?????? (nóstos) : le retour, et ????? (álgos) : tristesse, douleur, souffrance et désigne souvent une mélancolie accompagnée d'un envoûtement par rapport à des souvenirs liés aux lieux de la vie passée de la personne qui l'éprouve, et notamment aux lieux de son enfance, évoqués à travers une jouissance qui est douloureuse. D'après WikipédiaPublié le 02/12/2013
... La partie était mal engagée et dans le potage où nous flottions, une couille-iceberg allait nous renvoyer, tels des Titans niqués, vite fait bien fait dans les noires profondeurs que nous n'aurions jamais dû quitter. Surtout moi ...Publié le 02/12/2013
Ce serait… Comme une petite semence restée cachée dans les profondeurs de la terre. Insignifiante. Estourbie de désespoir dans la souffrance de sa solitude. Elle avait vu le fer déchirer la terre. Elle pleurait les poisons qui la polluent. Elle savait l’eau et la chaleur qui faisaient croître d’autres racines que les siennes, sans avoir droit à sa part. Elle connaissait ce grondement de la terre, comme venu de là-haut, qui semait la terreur indicible de leur mort… Mais elle en arriva, contre toute raison, à penser que le désespoir est une injure faite à la vie. De toutes ses forces, elle voulu croire en sa force. Elle balaya de ses pensées les idées noires de la raison.Publié le 02/12/2013
- Mon cheval ! Mon épée ! J'y retourne! - Où cela ? - Chasser le Dragon, cette idée, j'ai un avantage : je sais où il niche. - Ah oui ? C'est la meilleure ! Et il niche où, "le Dragon, s'il vous plaît ? - Dans le cœur des gens.Publié le 02/12/2013
Avertissement! Certains passages de ce récit risquent de heurter la sensibilité de certaines personnes. C’est pourquoi, je conseille fortement aux âmes sensibles de ne pas se lancer dans la lecture de cette ouvrage... Cette histoire est une histoire vraie ou presque vraie. Pour être plus précis, je dirais: certains moments de cette histoire sont tellement vrais que l’on pourrait croire qu’ils sont faux ou qu’ils viennent d’un autre monde, une monde purement fictif. La réalité est parfois absurde! Mais la fiction n’arrive jamais à la dépasser.