Publié le 25/01/2018
Une poésie du réel dépassant la logique du langage courant, afin de nous inviter aux limites de l'indicible... La poésie est justement cet "indicible", au-delà des limites de la parole.Publié le 24/01/2018
Résumé Un chercheur de la société Stiller crée, par manipulation transgénique, une tomate grosse comme un melon. La particularité de cette tomate est d’envahir le terrain là où elle pousse, une vraie catastrophe. Elle détruit tout dans sa progression En plus ce chercheur, Michel Olivier, a mis au point un insecticide qui tue les blattes (cucarachas) et tous les petits animaux. Malheureusement ce produit provoque une épidémie par contamination au streptocoque du type A; maladie paralysante et aussi mortelle. Dans cette hécatombe se mélange amour érotisme, crimes, assassinats et poursuites…Publié le 19/01/2018
Il ne suffit pas d'enterrer des choses sous les cerisiers, encore faut il avoir de la mémoire.Publié le 15/01/2018
L’œuvre est majoritairement basée sur l'étude et le décryptage du mot ou devrais-je dire du verbe devenir. Elle présente certaines incohérences et fautes de compréhension qui nous ont été enseignées par rapport à ce mot.Publié le 12/01/2018
La suite de "L'envers du décor"... mais peut-être pire...Publié le 12/01/2018
Quand des mots, émanent des senteurs inconnues, de délicates effluves qui nous attirent ou nous repoussent...Publié le 11/01/2018
Ce livret de 22 pages est le texte d'une conférence de présentation du livre Sémantique et fonctions mentales. J'y aborde mon cheminement, ma méthode de travail ainsi que les principaux thèmes et conclusions développées dans le texte principal.Publié le 09/01/2018
Chantemesse 1979 - La sieste ensoleillée dans un champ. Au réveil (mais je n'ai jamais su s'il s'agissait d'un rêve ou d'une vision) la sculpture sur ma rétine d'un corps de femme allongée (noire ou lumineuse ou noire de trop de lumière je n'ai jamais su non plus) ou plutôt lovée sur elle-même. Sans savoir pourquoi non plus j'ai pensé à une momie, pris un crayon et écrit d'un trait sur le cahier qui ne me quitte jamais, ce poème, le seul de ce recueil qui, depuis presque quarante ans, n'ait jamais été retouché ou si peu : "Elle passe encore nue noire et claire..." Ont suivi des années de variations infinies sur ce thème d'une momie énigmatique qui a connu à peu près tous les désastres et toutes les renaissances, connu tous les découpages. Le hasard me les a fait retrouver, corriger et réorganiser l'ensemble pour la dernière fois, décidant de les abandonner dans une nouvelle barque à la dérive de son rêve...