alairo


 
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Ses oeuvres

8 oeuvres
  • Chloé - Alairo

    Publié le 10/08/2015

    Quand je serai grande, je veux me marier avec Alan disait elle. Sa mère alors répondait, tu n’as que dix ans, il te faut attendre encore au moins huit ans, mais demande d’abord à Alan si il est d’accord. Elle me regardait, attendait une réponse affirmative, et d’un clin d’œil, je la rassurais.
  • Josiane - Alairo

    Publié le 26/06/2015

    Il avait trente cinq ans, et en paraissait cinquante, combien de temps allait il tenir ? Elle était sans pitié, le rendant responsable de sa triste vie, et puis, à qui allait il manquer ?
  • Ma vie revée (2) - Alairo

    Publié le 06/08/2015

    Un gradé, peut être un colonel, fit cette annonce. John Fitzgerald Kennedy, trente-cinquième président des États-Unis,a été abattu à Dallas, Texas à 12h30, alors qu’il circulait dans un cortège à vitesse réduite, en voiture décapotée dans la Dealey Plazza. Il était 18h30 à Toul
  • Mathilde - Alairo

    Publié le 12/09/2015

    Ils savaient leurs jours comptés, mais relativisaient, la vieillesse était un aboutissement, pas une punition.
  • SWAN - Alairo

    Publié le 30/08/2015

    Je pense que beaucoup de personnes aimeraient rajeunir, pas moi, je suis très bien en 2014, je suis satisfais de ma retraite, heureux avec Swan.
  • Un coup parfait - Alairo

    Publié le 27/08/2015

    Quand un assuré décède, le testament est chez un notaire, qui énumère aux héritiers tous les biens qu’ils leurs reviennent. Combien de personnes qui contractent une assurance vie pensent à inclure le contrat dans leurs biens, combien font un testament, très peu, en général, le notaire dispatche les biens par ordre de parenté avec le défunt.
  • Un tendre voyou - Alairo

    Publié le 22/08/2015

    Le milieu dans les années 70. malgré son manque d’étoffe un jeune va tenter l’impossible, égaler les plus durs de la pègre.
  • Une enquête à boucler - Alairo

    Publié le 09/07/2015

    Une vingtaine de clients assis à des tables de poker ont l’air surpris, je crois les reconnaître tous, des petites frappes de la banlieue nancéienne, des habitués des salles de tribunaux, ils ont l’air sur d’eux. Pendant que mes trois collègues contrôlent les identités, je m’adresse au patron derrière le bar.
 
 
 
 
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