Une brève histoire de condition humaine - la Justice n'est pas un hasard
Genre : Essais et documents
Publié le : 10/04/2018
Résumé de l'oeuvre :
Ne lis pas ce texte si tu n’aimes pas être surpris et bousculé, si tu as besoin que tes lectures ne fassent que renforcer tes convictions. Tu serais nécessairement déçu. Je le sais, parce que je ne partage avec personne l’ensemble des idées que je viens ici promouvoir et défendre, dont chacune est inaltérable. Parce que j’emprunte et rejette indistinctement les éléments de ma pensée auprès de toutes les chapelles idéologiques existantes et répertoriées. Si tu appartiens à l’une d’elles, tu seras nécessairement attaqué sur tout ou partie de tes convictions. Ne me lis pas non plus si tu cherches un essai, mon texte n’en a pas le format. Je ne suis ni philosophe, ni scientifique, ni professeur d’université, ni d’ailleurs étudiant, ni même artiste ou romancier. Je ne suis qu’un citoyen qui pense par lui-même, et qui éprouve le besoin d’en faire un récit, celui que tu as sous les yeux. Je t’invite cordialement à le découvrir si tu aimes les sensations fortes, la controverse, le doute...
Quelques mots de l'auteur :
Je pars du principe qu’il faut redéfinir la condition humaine à la lumière de nos connaissances et de notre expérience en ce XXIe siècle. Car les seules références dont on dispose en la matière, qui offrent des fondements, des racines, des bases, sont celles des textes sacrés, totalement obsolètes, et des philosophes dont l’œuvre a vu passer des siècles sans mise à jour. J’ai entrepris ce travail voilà 10 années, et j’en livre ici un état des lieux.

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Commentaires

fabiandaurat, il y a 4 ans
Bonjour Sebastien, merci pour l'attention que tu as portée à mon travail. Je n'ai pas accès à tes commentaires mais ils m'intéressent, il m'intéresse aussi d'échanger avec toi, je suis toujours preneur de communication. Le texte que tu as lu commence à dater, j'en ai écrit deux depuis "Cosmos et libre arbitre" et le dernier en date, encore tout frais "Prophétie d'un bipolaire". La première partie en est autobiographique mais à partir du chapitre 2, théologique, on entre dans le vif du sujet et les chapitre 3, 4 et 5 notamment précisent assez largement les concepts de liberté, de hasard, et de Dieu, les principaux thèmes de ma représentation du monde. Votre pseudo est en forme d'adresse email, je vais essayer de vous contacter par ce biais.
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sebastienjunca@laposte.net, il y a 4 ans
Bonjour Fabian,
je viens de finir de lire votre travail qui m'a beaucoup intéressé. D'autant plus que j'y ai retrouvé certaines de mes convictions en même temps que de nouvelles idées très très pertinentes sur des thèmes aussi différents et polémiques que sont le viol, la prostitution, la pédophilie, le féminisme... J'aurais aimé échanger avec vous, par écrit bien sûr, sur votre travail. J'ai surligné pas mal de passages sur lesquels je partage tout à fait votre avis. D'autres, un peu moins... D'autres, beaucoup moins. J'ai donc fait mes commentaires à la marge sur la version PDF. Comment pourrais-je vous la communiquer, si tant est que les commentaires apparaissent avec votre lecteur PDF ? Pour ma part, j'utilise PDF-XChange viewer. Dans l'attente, je poursuis la lecture de votre œuvre avec beaucoup de curiosité et d'intérêt. Cordialement.
Sébastien.
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fabiandaurat, il y a 6 ans
T'es toujours là toi? Il est assez misérable ce démon qui est mon père et mon inspiration, bien impuissant à diffuser son message, rédigé en vain. A quoi bon être un démon si on n'en a même pas le pouvoir? Remarque, on a les démons qu'on mérite. Tu en as trouvé un vraiment tout petit.
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zeugma, il y a 6 ans
si il y avait un preuve à fournir de votre allégeance au prince de ce monde, vous l'avez fourni, car à frapper l’œil une larme sourd, et à vous avoir démasqué, vous vous répandez en colère comme votre père, le démon...

en effet il réclame lui aussi justice, mais dans la privation de la lumière divine, il doit se contenter de la sienne qui faiblit chaque jour un peu plus...

bref, en ce jour de pentecôte, qu'il me soit donné de vous appeler une dernière fois, vous, petit homme, d'expier vos erreurs et votre haine qui vous condamne à un enfer comme vous le savez...

P.S en effet votre travail est un vrai travail comme je vous l'ai dit, mais pas un travail vrai, c'est-à-dire qui se dirige vers l'amour, mais plutôt vers la haine, celle qui provient du démon par jalousie envers l'homme...
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fabiandaurat, il y a 6 ans
Voir en moi l'antéchrist est flatteur, cela me donne beaucoup d'importance, mais c'est une immense contrevérité. J'éprouve envers la figure du Christ le plus grand respect, à qui j'associe la soif de Justice dont je suis moi-même animé. Et quelle merveille serait son retour! Le fait qu'il n'ait pu être fécondé que par l'introduction d'un spermatozoïde de son père dans l'ovule de la sa mère, n'enlève rien à sa gloire, et à la possibilité de le voir incarné à nouveau, un jour, dans un grand leader charismatique et spirituel plus puissant que le pape ou les stars du showbiz, foot compris. Si cela advenait, j'aimerais que ce texte lui serve de référence. Si personne ne se présente, je suis dispo pour le job. Mais seulement si on me le demande gentiment.
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fabiandaurat, il y a 6 ans
Tu brûleras en enfer pour l'éternel bon plaisir de Belzebuth. Dieu dans sa honte de t'avoir engendré, se Pince le Nez.
Tu es un cadavre pourri, bouffé par les vers et il ne reste de ton altérité et de ton amour que l'odeur de décomposition que j'ai sentie dès ton arrivée, à travers ta condescendance, ta fausse patience et ton verbiage érudit abscon, dépouillé absolument de sens mais généreuseument tartiné. Tu avances caché et courbé comme les lâches et les traitres. Tu n'es autre qu'un cloporte, sans courage et sans souffle. Tu pues la mort, tu es un damné, et je te souhaite de trouver une issue prochaine qui te libère de ta putréfaction.

Je travaille pour la Justice, celle qui tranche pour séparer la vérité du mensonge, et par conséquent sépare tes chairs putréfiées de ton vide immaculé. J'éliminirai ta race entière de hanneton de l'ordre, de misérable curé perverti, gardien d'un mythe en décomposition avancée. Et je ferai un monde débarrassé de vos armées de zombies, qui voient le vivant là où il y a la mort, et la mort là où il y a du vivant.

Amen
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zeugma, il y a 6 ans
enfin vous passez dans l'explicitation de votre vision de l'être humain, qui du reste selon vos bases de connaissances est déjà balisée par l'efficience et n'a de finalité que l'hégémonie de la matérialité physiologique, ce qui vous confine à un esthétisme intellectuel...(type hégélien mais sans la complexité)...

évidement dès la première lecture de votre texte c'est ce qui me parût patent, mais j'ai quand même voulu librement entreprendre un petit dialogue avec vous, et de cet échange il aboutit une si personnelle et irréconciliable divergence de compréhension du réel dans ses causes et ses fins, que si déjà je savais pour qui vous travailliez, je sais aussi maintenant que nous ne pourrons pas aller plus avant dans ce dialogue...


il est toujours douloureux de rencontrer un humain dans l'hallucination et la confusion entre "ce par quoi" une réalité est et "ce pour quoi" elle est, mais c'est justement dans cet absence d'acceptation de l'altérité et de l'amour comme finalité que vous en êtes, à vouloir nous priver de notre libre arbitre...

P.S vous n'êtes pas libre mais esclave de l'"esprit perverti de ce monde", et vous êtes à plaindre et à blâmer, car vous participé à votre mesure à la perversion du réel dans sa compréhension...
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fabiandaurat, il y a 6 ans
L'esprit réside dans la matière, non pas au-delà d'elle. La matière porte en elle l'esprit. L'activité de la matière c'est l'activité de l'esprit. Les lois de la matières sont celles de l'esprit, les lois de l'esprit celles de la matière. La matière incarne l'esprit, l'esprit incarne la matière.
Que ce soit matériel ou spirituel pour l'Homme, c'est toujours la matière de l'esprit, l'esprit de la matière qui s'exprime. Aimer Dieu, sa mère, son conjoint, son enfant ou son chien, la littérature ou le football, manger ou méditer, c'est de toute façon avec les cellules de son corps qu'on l'aime, que l'on ressent l'amour.
Et c'est le corps, donc la matière, donc l'esprit qui choisit ce que l'on aime, la conscience ne vient que le constater, en faisant croire qu'elle l'a déterminé, comme le soleil fait croire au paysan qu'il lui tourne autour de lui en passant dans son ciel.
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fabiandaurat, il y a 6 ans
L’altérité, cher ami, je ne sais même pas ce que c’est censé vouloir dire.

Le problème, c’est que vous situez l’esprit dans quelque éther qui relève de d’un paradigme du matérialisme né à une époque où l’on n’avait aucune notion de la nature du corps, du cerveau, de la matière dont on est fait et dont est fait ce qui nous entoure.

Vous voulez que l’esprit échappe au corps, et que ce qui relève de l’esprit ne relève pas des mêmes lois que ce qui relève du corps.
Et vous remettez l’amour sur le tapis.
Mais l’amour de Dieu, l’amour d’un idéal, l’amour spirituel n’a rien de différent de l’amour en général. D’ailleurs, puisqu’on parle d’amour, parlons d’érection. Il est un fait connu que les prêtres les plus chastes bandent en priant, ce dont les hautes autorités de la chrétienté ne s’offusquent en rien, et pour cause, l’être humain, qu’on le veuille ou non, est fait d’un corps.

La finalité de notre espèce, je le dis dans mon livre, c’est la connaissance. C’est la connaissance seule qui nous distingue des animaux. Certainement pas l’amour dont tous les macaques et les dauphins, et les chiens et les chats et les éléphants du monde sont prodigieusement doués. Quant à l’altérité, je vous l’ai dit, je ne sais pas ce que ce mot signifie. Je vous prie d’ailleurs de bien vouloir éclairer ma lanterne.
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zeugma, il y a 6 ans
erratum ... ajouter (a) dans la phrase : et (a) pour finalité l'acceptation de l'altérité et l'amour"
pardon et bonne journée...
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zeugma, il y a 6 ans
salut à vous, je vais essayer de faire court et lisible, (pour une fois) ...

en effet vous êtes dans l'explicitation de votre position, en paraphrase, mais ici comme vous le dites c'est un dialogue, et vous semblez le faire devenir un révélateur de la réalité que nous avons en commun, "ex parte materiae" comme disaient les anciens, c'est à dire du coté de la matérialité de l'acte, ce qui en soi n'a rien de faux, mais qui pose en revanche une difficulté lorsqu'il s'agit de rendre compte des actes spécifiques de notre agir spirituel, et j'en nommerais deux, aimer et accepter l'altérité...

car si vous ramener toute l'origine des décisions aux bases physiologiques du corps vivant, et par là aussi à la suite causales des lois naturelles, vous passez allègrement sur "ce pour quoi" l'existence même de la matière à un sens...
et pourquoi existe cette singularité que nous sommes...

je sais bien que les siècles d’enchaînement (au double sens de ce mot) de la conscience par toutes les activités humaines, nous conduit aujourd'hui au constat "tragique" d'une ingérabilité (que vous faites émerger tout au long de vos écrits)...
reste que les causes propres de cet échouage ne sont pas pour moi ce qu'elles sont pour vous, et surtout que la correction qu'il vous semble indispensable de mettre en oeuvre diffère de la mienne...

je conclus en une phrase, que si la spécificité humaine singulière tend depuis ses origines à l'autonomisation fonctionnelle du corps et à la "maîtrise rationnelle de l'esprit", la cause en est naturelle, et pour finalité l'acceptation de l'altérité et l'amour, mais si vous ne considérez plus ces deux finalités humaines, alors évidement vous êtes en droit de proposer une autre finalité...

P.S l'évidence ne supprime pas la prudence tout comme la justice ne supprime pas le sacrifice...hors l'altérité est une évidence et l'amour un sacrifice...
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fabiandaurat, il y a 6 ans
Je parlais de votre envie de pisser, mais il va sans dire que la mienne procède de la même façon : je pense et écrit par besoin tout aussi primaire que celui auquel répondent mes sphincters.
Simplement, l'organe concerné au premier chef est, en matière de production intellectuelle, le cerveau.
Mais le caractère impérieux de la nécessité est le même, le rôle du libre arbitre parfaitement nul dans tous les cas.
Le cerveau n'est autre chose qu'une glande géante à produire (plus ou moins bien) de la pensée (plus ou moins vaste et complexe).
Vos capacités cognitives sont développées, en tout cas celles qui servent le langage, mais cela ne confère aucun libre arbitre, pas davantage que n'en dispose l'abeille, l'oiseau, le macaque, la fleur, le chat et l'écosystème entier, dont nous ne sommes que des maillons de la chaîne.
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fabiandaurat, il y a 6 ans
Vous n'avez pas à me rejoindre le moins du monde pour chercher a vérité avec moi, juste à faire valoir ce que vous avez dans la tête, dans le cadre de l'échange.
En s'additionnant, au contact l'un de l'autre, le contenu de nos crânes chemine vers la vérité, même si je fais 90% du boulot, il est mieux fait que si j'étais seul, comme je l'étais dans mon livre. Un livre ne répond pas, c'est pourquoi c'est très peu convainquant. Pour être convaincu par un livre, il faut l'être déjà avant.

L'exemple que vous donnez de libre arbitre prouve que nous en sommes au point zéro de la discussion. Disons que c'est un bon début, enfin :
Ce qui va déterminer si vous me "donnez" du temps (mais la réalité c'est que vous vous le donnez à vous-même, comme moi à moi-même) c'est le désir que vous avez de le faire.
Si votre désir, sous forme d'appétit ou de curiosité, l'emporte sur les obstacles que constitue la somme des autres choses que vous avez à faire de votre vie, alors vous poursuivrez cette discussion. Vous la quitterez si vous vous lassez, si je vous insulte ou si l'un de nous meurt en plein milieu.

Il n'y a pas, cher ami, le moindre électron du moindre atome de libre arbitre dans le choix de discuter avec moi ou pas, il n'y a qu'un léger rapport de force au sein de votre cerveau qui penche du côté du désir de communication pour l'instant.

Racontez-moi, comment avez-vous fait le choix d'écrire sur ce mur, plutôt que ne pas le faire? Racontez-moi comment vous avez choisi de désirer, de souhaiter écrire des commentaires ici.
Vous ne le pouvez pas, parce qu'un souhait, un désir, une aspiration ne se choisissent pas davantage qu'une envie de pisser. A aucun moment de la vie on peut choisir de désirer quelque chose, on ne peut que le constater.
Vous m'avez écrit parce que vous aviez envie de pisser, et vous continuerez tant que vous en aurez envie, sauf s'il vous prend de vous retenir, pour une raison qui elle encore, ne pourrait qu'échapper au libre arbitre, comme la crainte de quelque chose, ou la honte d'une autre.
On ne choisit ni les affects attractifs, ni répulsifs, lesquels déterminent l'intégralité du comportement humain, mais aussi animal.
La différence entre le macaque et l'Homme, c'est uniquement un degré de complexité des facultés cognitives, mais pas le moteur qui fait avancer la machine, qui est de nature affective chez tous les êtres vivants.

A ce rythme, je vais paraphraser l'intégralité de mon livre, et ça fera un livre bis co écrit avec vous. Sinon vous avez aussi l'option (et pas le choix) de me lire.
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zeugma, il y a 6 ans
sans doute oui vous avez raison, au delà de la polémique il y a une recherche coopérative de la vérité, et si je vous lis in extenso, ce ne sera pas pour débusquer ce qui ne me semble pas tout à fait et personnellement juste, mais pour vous rejoindre dans votre quête...

mon libre arbitre est là, vous donner de mon temps ou pas....
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fabiandaurat, il y a 6 ans
Et merde. Pas davantage que 1+1 NE peuvent faire 3
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fabiandaurat, il y a 6 ans
Je n'ai pas lu Aristote et j'ai encore moins dit que toute personne était mue par une autre. J'ai dit que chacun est mue par quelque chose, en l'occurrence un affect appartement au pôle attraction ou répulsion. Le "projet" que vous avez mentionné est l'incarnation d'une nécessité qui ne laisse aucune place au moindre atome de libre arbitre, pas davantage que tout autre fait du comportement, pas davantage que 1+1 peuvent faire trois en arithmétique.

Je n'ai pas l'intention de vous perdre comme interlocuteur, car des interlocuteurs, c'est tout ce que je demande au bon dieu. Mais de grâce, synthétisons. Je n'ai pu vous lire en entier. Remarque, vous ne m'avez pas lu en entier non plus, comme ça on est quitte.

Pour débattre et polémiquer, faisons bref, cela ne sera que plus efficace.

Montrez-moi votre libre arbitre, où est-il, en quoi consiste-t-il?

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zeugma, il y a 6 ans
aparté...
tout d'abord merci de me répondre et de donner du temps à ce petit échange, c'est bien peu souvent que des personnes qui ont une réflexion nouvelle se donne le temps d'en exposer les tenants et aboutissants... car il y a quelque chose dans votre réflexion qui est évidement au delà d'un vernissage intellectuel(esthétique) qui se trouve chez d'autres, et en se sens il appert que la recherche d'un partage de votre pensée pour vous est aussi important que la cohérence que vous avez en votre propre intelligence...

en votre réponse se découvre en effet une vision du monde et surtout de la nature humaine qui en est un élément, comme une singularité vivante, car l'amplitude de son activité est spécifique au regard de toutes les autres espèces, c'est dans cette perspective qu'il me semblais avoir compris votre recherche de ré-ordonnancement de la volonté d'aller vers une justice et une répartition des biens, cela est aujourd'hui en effet la seul voie qui doit nous occuper...
et tout à fait d'accord pour détecter toutes les causes "d'embourbement" puisque étant autant que je puis un fieffé marginal, je sais reconnaître ceux qui ne "marchent pas comme des robots"...

toutefois, la discussion porte sur la capacité de choisir librement, qui relève pour moi d'un acte de l'intelligence, mais qui doit être de concert aussi "validé" par la volonté, ce que vous dites c'est que tout être est mû par un autre( Aristote est de votre avis), mais cela n'est vrai que dans l'ordre causale qui fait : du besoin de pisser au désir d'aimer, un substrat pour chaque individu pour se diriger vers son bien...

dans le besoin de pisser, c'est assez simple, le choix de l'intelligence se porte vers un lieu et un moment par lesquels cette fonction expulsive de notre vessie puisse s'effectuer sans causer de conséquences dommageables...pour ce qui est du désir d'aimer, c'est aussi dans un choix de convenance des moyens dans la recherche d'une autre personne, mais c'est surtout dans une disposition intérieure de notre volonté qui accepte cet autre comme ami(e)...

vous dites: " C'est bien parce que l'Homme ne choisit pas entre le vice et la vertu, mais subit son sort, que le sort global d'Homo Sapiens est si misérable. Si chacun choisissait d'être mû par ce que chacun veut, chacun prendrait sa place respectée et respectueuse de soi et d'autrui.''
cette première phrase pose deux problèmes logiques, tout d’abord votre affirmation du début, que l’Homme ne choisi pas entre le vice et la vertu, car si vous écrivez Homme avec un H majuscule c’est que vous désignez le genre humain, donc l’idéalité universelle et non pas la personne singulière, à savoir: vous, moi, le voisin ou tante Berthe...
et si c’est dans ce sens que vous posez la notion de choix, alors en effet ce n’est pas du ressort du genre humain de choisir entre vice et vertu, mais pour moi le choix est toujours individualisé et même se découvre en ce qui est constitutif de l’individuation (travaux de G.Simondon) ...

on peut même dire, que le choix se trouve déjà à l’état primal dans les dispositions matérielles de notre corporéité singulière, c’est à dire, que d’être un corps vivant en relation vitale avec un milieu de vie, nous prédispose médiatement et immédiatement à choisir, et le vice et la vertu proviennent en partie de cette recherche de juste milieu entre les passions qui elles même s’enracinent dans notre présence singulière dans ce milieu de vie...

alors votre conclusion de négativité et tout simplement de négation du libre arbitre se comprend mieux car si vous ne voyez que la force du conditionnement du milieu de vie comme contrainte et déterminant à l’agir morale, (vice et vertu) évidement vous entrez dans ce que Kant a aussi prit pour une cause assertorique, à savoir que ‘’l’impératif catégorique ‘’est le seul point universelle qui ne se décide pas, mais son erreur fut de ne voir le vice et la vertu que du coté de l’intelligence, comme un manque d'informations correctes sur ce qui doit être pensé ou est à faire, à savoir: son devoir... ce dernier étant établi sur une unité (voir une confusion) entre la justice commutative et la justice distributive , ce qui semble être aussi votre position !
... j’y reviendrais ...
l’autre problème logique que cette phrase soulève, c’est dans la congruence de la deuxième partie : « si chacun choisissait d'être mû par ce que chacun veut, chacun prendrait sa place respectée et respectueuse de soi et d'autrui.»
là c’est plus significatif, si cette phrase se trouvait sous la plume de Staline ou de Mao, je dirais oui je vois ce qu’ils veulent dirent, car c’est parce qu’ils furent tous deux confrontés à une situation historique par laquelle la seule voie de maintient du mouvement révolutionnaire était de passer du bien particulier au bien commun par l’unification des choix individuels en un choix collectif autoritaire...

mais dans votre cas c’est autre chose que vous semblez vouloir mettre en branle, c’est un bien commun qui serait préempté à partir de l’abandon pur et simple du libre arbitre, ce qui porterais chacun à déposer sa capacité de choisir dans l’unique élan commun défini comme nécessaire...ce qui est pour moi illogique puisque les termes de cette nouvelle définition du bien commun reviendrait (sans doute) à des conformations au bien d'un nombre de décideurs limités, le vote majoritaire étant exclu de fait, puisque le libre arbitre ne faisant plus parti du paysage il n'y aurait plus de nécessité de voter...personnellement cela m'irait très bien, car je ne supporte pas la représentativité...


et en conclusion, vous écrivez : « C'est le jour où l'on comprendra que l'on ne peut faire peser sur l'individu le poids du choix, un poids que seule peut assumer une société entière, que l'on vaincra le vice massif qui nous broie, sous forme d'exploitation, d'asservissement, de haine et de mépris, au profit de la paix»

par là vous semblez dire qu’une socialisation idéale doit se positionner dans la faille (donc dans un vide entre deux pleins) que chacun porte en soi à savoir: son jugement intellectuel et son désir de bien faire, mais non pas sur le choix et son corollaire le libre arbitre, puisqu’ils sont faillibles et doivent donc être soustrait selon vous...
mais vous dites qu'il faut combler cette faille par une forme de responsabilisation collective par laquelle il est possible de définir intellectuellement les biens nécessaires au groupe, selon la justice commutative et une vision du développement durable...

dans les faits il est possible que là où l’on en est, ce ne soit qu’à ce prix que l’on ne descende pas plus bas, et que l’on puisse stabiliser et enfin redonner un nouvel ordre de vie à notre civilisation, mais il est aussi évident que ce qui nous a conduit dans ce gouffre de crétinisme généralisé, ce ne soit que des divergences sur ce qu’est vraiment le bien commun, et que cela ait prit le dessus sur sa véritable recherche communautaire, et enfin que, l’esprit contradictoire de l’argumentation interne que nous sollicitons dès qu’il nous faut dire oui ou non à une situation, ne soit plus que l’acquiescement ou la réprobation à deux formes déficiences puisque déjà construite pour une mauvaise fin (loi inique par exemple) ...ou comme l’on dit: n’avoir plus à choisir qu’entre la peste et la choléra ...

en effet "le choix induit" tout comme "la notion de moindre mal" sont ce qu’il y de plus pernicieux dans l’organisation de nos sociétés, tant au plan spéculatif qu’au plan pratique...cela je le vois bien...mais personnellement je ne choisi pas de ne pas choisir pour que le choix collectif choisisse pour moi, bien au contraire, je choisi de passer par le choix tant intellectuel que par mon libre arbitre (pardon si j'en reviens toujours là) pour repousser toutes les formes de déploiement de cette injustice qui me vole constamment une part de mon « droit » à exister comme personne individuelle...

car c’est bien là pour moi que se trouve le nœud des maux du devenir humain singulier, que la réalité de sa présence soit toujours en instabilité entre ce qui le détermine et ce qui le conditionne, c’est aussi là que se trouve peut-être aussi une des raisons qui vous ont appelé à vous exprimer...?



bref, si vous semblez aussi radical dans votre position de ne voir dans l'unité de l'intelligence et de la volonté qu'une voix qui doit être soumise par délégation à la volonté civile, et pour ainsi dire être reléguée de notre nature en un "transhumanisme" scientifique de la nécessité, il y a fort à parier que vous allez une fois de plus me tancer d'avoir mal perçu votre pensée...tant pis pour moi, et excusez aussi d'avoir été aussi long dans ce message, au risque de vous lasser, ou pire de vous perdre comme interlocuteur...
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fabiandaurat, il y a 6 ans
erratum : à l'issuE (c'est vraiment chiant qu'on ne puiss pas retoucher ses messages, tout le monde se rend compte de ma nullité en français)
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fabiandaurat, il y a 6 ans
C'est bien parce que l'Homme ne choisit pas entre le vice et la vertu, mais subit son sort, que le sort global d'Homo Sapiens est si misérable. Si chacun choisissait d'être mû par ce que chacun veut, chacun prendrait sa place respectée et respectueuse de soi et d'autrui.
C'est le jour où l'on comprendra que l'on ne peut faire peser sur l'individu le poids du choix, un poids que seule peut assumer une société entière, que l'on vaincra le vice massif qui nous broie, sous forme d'exploitation, d'asservissement, de haine et de mépris, au profit de la paix!
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fabiandaurat, il y a 6 ans
Aimer de la merde toxique, comme aimer quelqu'un de toxique, ou quelque chose de toxique, comme l'argent et toute autre addiction qui tue, soi-même ou les autres.
Que faites-vous du choix avec la passion, au premier sens du terme, qui consomme et consume notre espèce? Qu'est-ce que la passion si ce n'est un amour frénétique, déchiré?
Comment en arrive-t-on à croire que l'on choisit ce que l'on aime à l'issu d'une réflexion sur le sujet? C'est une hérésie intellectuelle si communément partagée, logée dans le nucléus de notre conscient et inconscient collectif, condition de notre débilité massive.
Quand nos sociétés d'Hommes intégreront-elles le fonctionnement réel de ses individus?
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fabiandaurat, il y a 6 ans
Ceci est un repost de la même chose, mais comme j’ai envoyé ça sans me relire, j’ai fait de la merde au premier envoi.

Il semble que vous m’ayez à peu près lu (mais à peu près seulement), ce qui est déjà pas mal. Quelle plume vous avez en tout cas! Un vrai érudit, avec des mots que je ne comprends pas, waou!

Je n’ai toujours pas compris votre problème avec mon traitement de l’IA. C’est un sujet que j’aborde parmi mille autres dans ce texte fourre-tout, et comme les mille autres, je m’en servirai à chaque fois que j’en aurai l’occasion pour attirer l’attention sur mon travail.
Vous ne semblez pas avoir la moindre idée de ce qu’est l’anonymat d’un chercheur. Etant donné votre intellect de haute volée, selon toute vraisemblance, quand vous avez quelque chose à dire vous le faites entendre. En tout cas vous avez certainement un travail, un rôle, une fonction dans la vie communément admise, moi je n’en ai pas. Et j’entends prendre ma place, en tant qu’intellectuel, penseur, qui a une lecture du monde singulière à proposer.

Vous n’êtes pas d’accord avec la disparition du libre arbitre, mon brave monsieur vous n’êtes pas le seul. Mais de là à raconter que je nie l’existence de la volonté, c’est un contresens absolu. Je dis en toutes lettres et en substance que « la volonté est l’un des plus grands privilèges sur Terre ». C’est donc qu’elle existe mon brave monsieur.
La volonté, qui regroupe tous les moteurs de l’être humain, n’appartient pas au choix, vous avez le plus grand malà le comprendre, mais encore une fois, c’est à mourir de banalité. Je ne pensais pas réussir à convaincre quelqu’un comme vous.

Mais quand vous tentez de produire un argument pour caractériser ce que vous comprenez de l’esprit, là ça part en vrille, pardonnez-moi mais c’est risible :
« pour moi il y a quatre actes volitifs qui sont : le besoin, l'envie, le projet et le désir, chacun étant indépendant mais dans la vie pratique sont presque toujours associés les uns aux autres selon la réalité perçue ou recherchée ».
Volutif? Et ta soeur? Votre liste à la Prévert est dépouillée de toute signification. l’envie? de quoi? de pisser?
Il y a le besoin et le désir, qui sont deux degrés différents du même mécanisme de nécessité, et le projet en découle, il en est l’incarnation.
On est en mouvement parce qu’un on est mû, et on est mû par attraction et répulsion : amour, haine, désir, peur, besoin, frustration…
Vous connaissez beaucoup de gens qui ont choisi de craindre ce qu’ils fuient? D’être frustrés par ce qui les frustre? Ils ne choisissent pas davantage d’aimer ce qu’ils poursuivent, c’est juste qu’ils n’ont pas de raison de s’en plaindre, puisque l’amour est généralement agréable. Généralement..! Il peut être extrêmement douloureux, et alors on se rend compte que l’on n’a rien choisi. Vous manquez juste d’expérience de la vie.

Vous voulez absolument choisir d’aimer? Que voulez-vous que je vous dise. Si c’est votre choix, Bravo! Tiens, voilà, bravo bravo!!! Voici votre médaille pour votre bon usage du choix, car je suppose que vous n’aimez que des choses merveilleuses. Essayez de comprendre que l’amour puisse aussi porter sur de la merde qu’on ne peut pas avoir choisie, et si l’on peut aimer de la merde toxique, alors on ne peut choisir ce que l’on aime.
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fabiandaurat, il y a 6 ans
Cher Monsieur,

Il semble que vous m’ayez à peu près lu, ce qui est déjà pas mal. Quelle plume vous avez! Un vrai érudit, avec des mots que je ne comprends pas, bravo!

Je n’ai toujours pas compris votre problème avec mon traitement de l’IA. C’est un sujet que je traite parmi mille autres dans ce texte fourre-tout, et comme les mille autres, je m’en servirai à chaque fois que j’en aurai l’occasion pour attirer l’attention sur mon travail.
Vous ne semblez pas avoir la moindre idée de ce qu’est l’anonymat complet quand on est chercheur depuis dix ans. Etant donné pour intellect de haute volée, selon toute vraisemblance, quand vous avez quelque chose à dire vous le faites entendre. En tout cas vous avez certainement un travail, un rôle, une fonction dans la vie communément admise, moi je n’en ai pas. Et j’entends prendre ma place, en tant qu’intellectuel, penseur, qui a une lecture du monde singulière à proposer.

Vous n’êtes pas d’accord avec la disparition du libre arbitre, mon brave monsieur vous n’êtes pas le seul. Mais de là à raconter que je nie l’existence de la volonté, c’est un contresens absolu. Je dis en toutes lettres et en substance que « la volonté est l’un des plus grands privilèges sur Terre ». C’est donc qu’elle existe mon brave monsieur.
La volonté, qui regroupe tous les moteurs de l’être humaine, n’appartient pas au choix, vous avez le plus grand mal du monde à le comprendre, mais encore une fois, c’est à mourir de banalité. Je ne pensais pas réussir à convaincre quelqu’un comme vous.

Mais quand vous tentez de produire un argument pour caractériser ce que vous comprenez de l’esprit, là ça part en vrille, pardonnez-moi mais c’est risible : « pour moi il y a quatre actes volitifs qui sont : le besoin, l'envie, le projet et le désir, chacun étant indépendant mais dans la vie pratique sont presque toujours associés les uns aux autres selon la réalité perçue ou recherchée ». Volutif? Et ta soeur? Votre liste à la Prévert est dépouillée de toute signification. l’envie? de quoi? de pisser? Il y a le besoin et le désir, qui sont deux degrés différents du même mécanisme de nécessité, et le projet en découle, il en est l’incarnation. On est en mouvement parce qu’un on mû, et on est mu par attraction et répulsion : amour, haine, désir, peur, besoin, frustration… Vous connaissez beaucoup de gens qui ont choisi de craindre ce qu’ils fuient? Ils ne choisissent pas davantage d’aimer ce qu’ils poursuivent, c’est juste qu’ils n’ont pas de raison de s’en plaindre, puisque l’amour est généralement agréable. Généralement..!

Vous voulez absolument choisir d’aimer? Que voulez-vous que je vous dise. Bravo! Tiens, voilà, bravo. Voici votre médaille pour votre bon usage du choix, car je suppose que vous n’aimez que des choses merveilleuses. Essayez de comprendre que l’amour puisse aussi porter sur de la merde qu’on ne peut pas avoir choisie, et si l’on peut aimer de la merde toxique, alors on ne peut choisir ce que l’on aime.
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zeugma, il y a 6 ans
"Que quelqu'un m’explique ce qu’un libre arbitre, une « volonté libre » viendrait faire dans l’esprit. Je l’exige ! J’ai trop soupé de cette insulte à l’intelligence."

votre chapitre "esprit es-tu là" regorge de glissements sémantiques qui seraient utile de mettre à plat, car vous les enclenchez comme des engrenages psycho-logiques, lorsque vous parlez de Désir/besoin ou de la masses de vécu qui passe de la conscience à l'inconscient( "inconscient" dont je conteste absolument l'existence) car pour moi il y a quatre actes volitifs qui sont : le besoin, l'envie, le projet et le désir, chacun étant indépendant mais dans la vie pratique sont presque toujours associés les uns aux autres selon la réalité perçue ou recherchée...
je ne m'étends pas ici sur cette particularité de l'interdépendance de l'intelligence et de la volonté, car pour le moment il semble que votre propre réflexion vous a conduit vers une négation pur et simple de tout acte de la volonté, à ce point que vous semblez donner raison à toutes les assertions de la psychologie des profondeurs que j'abhorre totalement, tant elle conduit l'humanité vers une forme d’irresponsabilité personnelle et communautaire! toute l'antithèse de la justice dont vous semblez rechercher l'avènement...
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zeugma, il y a 6 ans
il y a par le fait d'utiliser des média comme ce site présent, une surélévation de sa propre puissance de communication au moins dans l'extension quantitative, et d'opter pour un appel à relayer votre travail(qui est un vrai travail même si certaines orientations ne me semble personnellement pas pertinentes) il y a aussi une utilisation de ce que l'I.A représente pour beaucoup de nos contemporains, c'est pourquoi je vous ai posé cette question...

maintenant au sujet des causes de changement de l'intelligibilité que nous avons de nos relations inter-personnelles, qui s’aligneraient par l'injonction (morale pratique) des principes éthiques que vous mettez en avant tels que la justice et la "redécouverte de la dignité de l'Homme " c'est une orientation qui retient mon attention, mais là encore le libre arbitre pour moi reste centrale ne serait-ce que parce qu'il est une des dimensions de notre nature humaine...

sans libre arbitre pas d'acte libre pour aimer et donc pas de relation d'échange au delà de la nécessité contingente de l'organisation du quotidien...

c'est justement dans l'union de l'acte de l'intelligence et de l'acte de volonté que personnellement je cherche à découvrir le nouveau paradigme de "libération" des contraintes sociétales...

mais il me semble que nous ne partageons pas les mêmes résultats de l'analyse du réel...
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fabiandaurat, il y a 6 ans
Cher Monsieur soit vous ne m'avez pas lu soit vous m'avait très mal lu.
j'ai consacré un chapitre à l'intelligence artificielle.
Je n'ai pas plus de libre arbitre que vous et si vous me lisez vous verrez que j'en rends compte.
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fabiandaurat, il y a 6 ans
Cher Monsieur soit vous ne m'avez pas lu soit vous m'avait très mal lu.
j'ai consacré un chapitre à l'intelligence artificielle.
Je n'ai pas plus de libre arbitre que vous et si vous me lisez vous verrez que j'en rends compte.
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zeugma, il y a 6 ans
hummmm...mais si le libre arbitre n'existe pas où est l'acte volontaire de rechercher la justice ?
vous dites intelligence qui applique un projet éthique, mais existe-il un acte intellectuel sans qu'il ne soit de fait aussi un acte volontaire ?
donc un acte librement accepté !
c'est curieux comme vous voulez inaugurer un ordre social que pourrait être celui de l'I.A !

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fabiandaurat, il y a 6 ans
Repost corrigé : Cher lecteur. Merci pour votre réaction riche! Il n'y aura aucune rupture de la chaîne causale, mais il arrivera un moment où les causes se rassembleront ENFIN, dont les conséquences seront vertueuses. Alors ce sera un raz-de-marée.
En attendant, la connerie ordinaire ronronne comme une mécanique bien huilée.
Les causes tant attendues, c'est vous, moi, tout le monde.
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fabiandaurat, il y a 6 ans
Cher lecteur. Merci pour votre réaction riche! Il n'y aura aucune repture de la chaîne causale, mais il arrivera un moment où les causes se rassembleront ENFIN aux conséquences vertueuses. Alors ce sera un raz-de-marée.
En attendant, la connerie ordinaire ronronne comme une mécanique bien huilées.
Les causes tant attendues, c'est vous, moi, tout le monde.
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Gilbert Nancy, il y a 6 ans
Ce n'est pas un "adversaire de qualité" qui vous envoie ce commentaire, pas même un adversaire.J'ai trouvé votre ouvrage captivant.
Vous concevez le cosmos comme le développement d'une programmation interne au big bang et qui se déploie ensuite en une série de chaînes causales qui déterminent l'ensemble des galaxies. Cette détermination générale inclut inexorablement le sort de chaque homme. Par conséquent le concept de libre arbitre est illusoire. Ne pensez-vous pas que l'on puisse faire l'hypothèse de ruptures de ces chaînes causales (ruptures programmées) ou d' intersections entre les séries de causes qui rendraient possible l'introduction des chaînes les unes dans les autres, réorientant ainsi le déterminisme (réorientation programmée à l'origine). Pourquoi ne pas supposer aussi l'initialisation, au cours du déploiement déterminé des événements cosmiques, de nouvelles séries causales (programmées bien sûr à l'origine comme devant survenir à retardement). Dans ce cas, les impulsions de hommes et leurs réflexions pourraient être saisies comme une de ces initialisations s'immisçant dans un complexe de chaînes causales, profitant d'une rupture ou d'éléments communs à une ou plusieurs de ces séries ? Un nouvel enchaînement surviendrait ainsi,dont l'origine serait, au moins partiellement interne à la conscience humaine.
Vos prises de position éthiques sont sensées et généreuses et il me semble qu'il est indispensable que l'humanité du XXI° y adhère si elle veut survivre.D'autres trouveront d'autres chemins pour y parvenir.
Vos critiques de ceux qui accaparent puissance et richesse frappentjuste.
Continuez.Il faut que les déterminismes de bonne volonté (vous comprendrez le paradoxe) s'affirment en nombre pour que l'humanité survive.


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fabiandaurat, il y a 6 ans
Ha si vous m'avez lu, vous savez ce que je pense du bonheur.
Vous êtes un atome, comme moi. Mettez-vous en mouvement, comme moi.
Et le Big Bang, nous le ferons.
Mais pas pour être heureux. Pour vivre dans un monde juste.
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salamandre, il y a 6 ans
bonsoir
Elles sont plus que légitimes, elles sont proche d'une vérité Cosmologique et de la genèse de l'humanité. Aujourd'hui, qui se préoccupe de ces questions?. Le peuple a le nez dans le guidon, il a comme phare les médias qui le guide a sa perte. IL reste 1 minute et 12 secondes avant le prochain BIG BANG sur l'échelle cosmique si il ne relève pas la tête a temps, il ne connaitra jamais la source du bonheur ou tout au moins son origine.
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fabiandaurat, il y a 6 ans
Merci pour vos encouragements. Ce sont moins des analyses que des cris échappés de ma gorge cependant. Ce qui m'importe, c'est de prendre la parole dans le cadre du débat public, aussi faites tourner si vous estimez que mes idées en ont la légitimité. Car je suis seul, isolé dans l'anonymat. Bien à vous. Fabian
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salamandre, il y a 6 ans
Fabian bonjour
excellente analyse, vos recherches sont stupéfiantes hasard et nécessité feront toujours bon ménage pour le bonheur de l Homo Sapiens
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