Publié le 02/12/2013
Désobéissance civile ? Grève de la consommation ? Qu'est-ce que tout ceci ? Pour s'évader de nos soucis, voici des questions et des réponses… Pour sortir de l'ornière et tracer un autre chemin, il existe une « Rê évolution ». Il est possible de faire un autre choix : face à la croissance de la consommation de biens, choisir la croissance de l'être. Apprendre à redevenir humain. Cet ouvrage offre un formidable chant d'espoir et un éclat de rire ! Ce n'est pas possible ! Mais si !Publié le 02/12/2013
Ils ne veulent plus travailler pour gagner un « revenu » (il était parti où?), condamnés à devoir acheter ces moments de libertés qu'ils ont abandonné. Ils ne veulent plus perdre leurs vies comme des esclaves, se laisser manipuler comme des moutons, aux profits de quelques-uns qui accumulent les milliards, qui conduisent les conflits et l'exclusion, en laissant un être humain sur six mourir de faim. Ils ne veulent plus de l'exclusion, quelle qu'elle soit ! Ils sont indignés ! Ils posent une question: « Et maintenant, qu'est-ce qu'on fait? » « Les Coquelicots » propose une réponse: Lève-toi et marche ! Pour apprendre le travail comme un outil privilégié de partage. Travailler par plaisir et pour le plaisir d'offrir. Parce que offrir est la plus grande richesse. Parce que l'offrande ouvre à la richesse de chacun. Apprendre à marcher dans les pas du bonheur, redevenir ce que nous sommes: de magnifiques magiciens créateurs d'amour, des êtres radieux...Publié le 30/11/2013
Mon nom est Pier Bergsma. Je suis marchand de vent. En gros. Et au détail. Je vends du vent du matin au soir grâce à un moulin que j’ai fabriqué. De mes propres mains. Grâce à ma tête. Bourrée de cellules hors norme. Ma femme est marchande de silence. Elle gagne moins que moi parce que le silence qu’elle met en boîte n’est pas encore à la mode. Ça viendra. Ça viendra le jour où les gourmands de bruit seront atteints de bruitophobie. Patience. Mes affaires marchent bien. Très bien. Parfois trop bien. L’été surtout quand les plages sont bondées. Quand on étouffe faute d’espace.Publié le 30/11/2013
Je veux être. Ceci. Ou cela. Ou ceci et cela. Pour rire. Ou pour pleurer. Ou les deux à la fois. J'y crois. C'est possible. Bien entendu j'y crois. À quoi ? À tout et à rien. Ou à tout ou à rien. Ou personne. Ou tout le monde. Ça tourne dans ma tête. Car elle est en fête cette tête qui tourne dans ma tête. Vraiment ? Je n'en sais rien. Ou à peine. Parfois trop. Trop souvent. Ou pas assez. Assez, assez ! Il faut que j'aille travailler.Publié le 30/11/2013
Je rencontre par hasard le plus inimaginable de mes amis d’enfance. Nous nous n’étions pas vus depuis plus de vingt ans. Après les éternelles questions sans queue ni tête, nous décidons d’aller boire un verre... Nous entrons dans un bar. Il prend un whisky, moi un pastis avec de la grenadine.Publié le 30/11/2013
La mort est comme un couperet suspendu sur la tête de chacun de nous et n'attendant que l'instant fatidique pour frapper.Publié le 29/11/2013
Avec beaucoup d'humour, le texte se veut léger pour dire que l'on ne choisit pas, ni sa venue au monde, ni son sexe. La nature est bien faite.Publié le 28/11/2013
A longueur de journées, on vous serine la crise, la fin du monde et autres sornettes... Et si l'à venir était un cadeau, un Présent, à vivre ici et maintenant ? « Allumez-vous ! » vous propose de découvrir un autre possible, un cadeau... Une réponse aux Indignés, aux Colibris, et à tous ces artisans, bâtisseurs et chercheurs d'un autre possible.Publié le 28/11/2013
J'élevai des brebis, sur ma colline. Elles m'ont beaucoup appris. Puis vînt un jour où Il m’apparut. J'ai cru que j'avais pété un câble ! Alors, Il m'a fait sentir Son Amour... « Oui, Père : ça, je sais ce que c'est... » Et, de ce moment, je L'ai cru. C'était au mois d'octobre 1993, il y a vingt ans. Il m'avait dit que j'avais encore beaucoup à apprendre. J'ai appris. Il m'a dit « Pais mes brebis ! » J'ai laissé mes brebis et je L'ai suivi. Il m'a enseigné et j'ai fait ce que j'ai pu. Depuis un moment, Il me disait : « Raconte ! ». Je ne savais pas quoi raconter... Le premier dimanche de novembre, en me levant, je savais qu'il me fallait écrire. Je ne savais pas quoi. Il commença ainsi : « Je suis »... Le reste est venu d'une traite.