Publié le 22/11/2018
Les Sœurs de l’Amour Fou est une fable réaliste mettant en scène Hélène, jeune fille ordinaire appelée, par une vision, à l’invraisemblable vocation de l’amour charnel charitable. Elle devra se donner corps et âme ainsi que les Sœurs de l’Ordre religieux qu’elle a fondé. Il faut recruter des nécessiteux de l’amour pour s’offrir à eux. De la fable, ce récit présente le format et le caractère onirique, si ce n’est surréaliste. Réaliste parce que l’histoire se veut ancrée dans le réel, psychologique et sociologique, ne serait-ce que pour le détourner. La fable est aussi philosophique, ouvertement dans la conclusion surprise. Il en résulte un texte compact à l’humour provocateur, dense et je l’espère divertissant.Publié le 21/11/2018
Ce poème est assez inattendu, l’esprit du texte est inspiré par une pièce de théâtre de Musset, ‘Une porte doit être ouverte ou fermée’ (une merveille). J’espère de la lecture de ce petit exercice de style vous sera agréable.Publié le 20/11/2018
Résumé Norbert, fils biologique d'un comte, naît en 1944, il connaît une enfance misérable dans un petit village près du château de son père biologique. Élevé par sa vraie mère et par un père violent qui ne l'aime pas, cela créé un grand manque d'affection chez Norbert qui se réfugie dans des rêves qui perturbent sa jeune vie d'enfant. Tous les jeudis après midi Norbert et le comte de Monchavet marchent main dans la main dans les allées du château. Le comte ne peut lui avouer qu'il est son vrai père. Dans ses rêves Norbert pense que le comte est son vrai père. Ses rêves ne pouvant pas devenir réalité, Norbert a un comportement de sournois et de petit voyou dans son village.Publié le 20/11/2018
Un regard parle, reflète des émotions, et peut en déclencher aussi...Publié le 18/11/2018
Quel est le rituel immuable et charmant auquel les femmes se livrent chaque matin ?Publié le 18/11/2018
La dernière journée de Lucas, dépressif, jaloux, paranoïaque, qui finit par commettre l'irréparable.Publié le 16/11/2018
Il voulait me peindre des angelots au plafond !