Publié le 26/04/2016
Yaoundé, capitale politique du Cameroun est une ville située dans la région du centre, entre 3° 52’ et 3° 57’ N et 11° 27’ et 11° 31’ E. Au cœur de cette ville, notamment à la poste centrale, sévit une insécurité notoire due sans doute au caractère marginal de certains acteurs qui s’y trouve. De plus, la marginalité que subit cet espace urbain de nos jours est du à son caractère, abritant des services temporaires (comme le commerce et le transport). La permanence des SDF , une catégorie de marginalisation sociale, de nuit comme de jour rend cette zone de la capitale sensible aux problèmes de sécurité. Malgré les efforts du pouvoir politique d’assainir ce centre urbain, le taux d’insécurité s’accroît chaque jour. Cette insécurité qui fait fréquemment débat dans les médias est liée à des questions de l'emploi,de logement, de délinquance, de santé et d'instabilité que connait la plus part des villes du tiers monde en générale, et des quartiers urbains en particulier, à l’instar de ceuxPublié le 28/07/2016
L’étude montre la corrélation entre la variabilité pluviométrique annuelle et interannuelle et la fréquence des inondations qu’a connues la rive Nord-ouest de Douala entre 1980 et 2010. Elle s’est appuyée sur des données issues des archives, des enquêtes et des traitements statistiques et cartographiques. Les résultats montrent que le site est particulièrement prédisposé aux inondations compte tenu des conditions physiques du milieu et de la pression anthropique. Douala enregistre près de 4 000 mm de pluies réparties sur 10 à 11 mois consécutifs (P ? 50 mm). Ces pluies tombent en moyenne sur 200 à 230 jours durant l’année et certains mois comme juillet et août peuvent enregistrer des pluies des semaines durant sans interruption. D’autre part, le site se caractérise par la platitude de son relief qui favorise une évacuation très lente des eaux d’écoulement. Les rivières qu’il comporte coulent à fleur de surface et débordent fréquemment de leur lit. A cela s’ajoute des sols hydromorphesPublié le 26/04/2016
Cette étude se propose, à travers la télédétection et le SIG, de montrer comment l’on peut suivre l’évolution d’un paysage forestier, dans une réserve qui fait face aux pressions démographiques (les pratiques agricoles, les activités minières, l’urbanisation) et à l’exploitation forestière industrielle. Notre étude s’étend sur trois périodes comprises entre 1990 et 2013 et concerne plus spécifiquement la partie Est de la RBD (arrondissement de Lomié). Nous avons utilisé les images du capteur Landsat 7 et 8. Ces données ont été associées aux enquêtes, interviews sur les formes d’exploitations de la forêt par la population locale et une étude de la culture des populations locales. Les résultats obtenus montrent une réalité préoccupante de la RBD. L’analyse des données par télédétection montre qu’il y a une dégradation progressive du couvert forestier entre 1990 et 2013.