Claude COTARD


Auteur polygraphe moderne, l'imagination florissante a toujours été innée chez lui.
Fils spirituel d'Auguste Le Breton, Claude Cotard à eu, comme son mentor, une vie passionnante et pleine de rebondissements. L'orphelinat (la DDASS), la maison de correction, la rue, le milieu... Comme Auguste Le Breton qui l'a encouragé à écrire alors que le petit Claude n'avait qu'une dizaine d'années. Simone De Beauvoir l'encouragera également quelques années plus tard.
Avec de tels encouragements, il s'est donc mis à écrire son histoire, mais d'autres aussi, celles qui lui passaient par la tête.
L'écriture est très vite devenue pour lui une passion que nous aimons partager avec le talent qui l'accompagne à travers ses œuvres.
Claude Cotard à une autre particularité, celle d'être polygraphe ! C'est à dire capable d'écrire dans tous les genres confondus : Policier, guerre, social, romans, essais philosophiques, poésie et biographie, en passant par les chroniques,... et même un roman érotique ! Des œuvres qui se distinguent chaque fois par une forte documentation historique.
Un auteur à découvrir si ce n'est encore fait !

Alexandra Xenakis
chroniqueuse littéraire "De Plume en Plume".
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Ses oeuvres

2 oeuvres
  • Le fauve - Claude COTARD

    Publié le 18/08/2019

    L'innocence, c'est ce qui te permet d'aller avec un peu de confiance dans la vie. C'est ce qui te permet d'aimer vraiment les gens, la vie tout simplement. J'étais un enfant comme les autres, sociable, pas plus mauvais, pas plus violent. Cette innocence, je viens de la perdre !
  • Mauthausen - Claude COTARD

    Publié le 18/08/2019

    13 janvier 1943, Clovis, Hugo et Cie attaquent une mairie pour voler cartes d’identité vierges et autres papiers, mais aussi des tickets d’alimentation. Arrêtés, Clovis et Hugo vont connaître la maison d'arrêt de Compiègne, avant Buchenwald et Mauthausen, avant Gusen II. Gusen II, Bagne des bagnes, enfer des enfers, le camp de la mort, le camp du meurtre, le camp du suicide, le camp de la folie dont le nom seul terrifie tous les déportés. On n'en revient pas, il n'y qu'une porte de sortie : la grande, celle qui passe par la cheminée. Dans ces mêmes camps, Clovis et Hugo rencontrent Simonechka et Zohra, mais ont-ils un avenir alors qu'ils sont au cœur des ténèbres ?
 
 
 
 
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