Anne Cécile LECUILLER


POÉSIE

• RECUEILS Parus :
• Les Champs du Silence - Éditions St Germain-des-prés - 1975
• Paille et Source - Les Paragraphes Littéraires de Paris - éditions Millas-Martin- 1976
• Temps du Pral - Prix Etienne de la Boétie, Bourg-la-Reine - juin 2004 – Editions M.T. (association des amis de la Poésie - Bourg-la-Reine)

• RECUEILS inédits :
• Arbres - 1987 à 1990
• Petites Insomnies – 2006 – (Poèmes et dessins)
• Iles – 2008-2010
(Recueil exposé sur les murs du Centre d’art de Nouméa du 4 au 27 novembre 2012)
• Nuages et autres variations –
• Tendre est la mort – 2015

TEXTES POÉTIQUES

• Paroles de l’Arbre aux plaines - Revue “Phréatique” - n°6 - 1978
• Écriture - Revue “Le Temps parallèle” n° 22 - octobre 1979
• La Chambre d’amour - Revue “Jungle” n°6 – (La mémoire/l’amnésie - Éditions du Castor Astral) - 1982
• Extraits de Fragments d’incisives et de Lieux perdus et Noms-lieux - Revue mensuelle “25” - 1985
• Genèse - Journal “Réforme” 12 avril 1986
• Je suis aussi vieux - Revue “L’Ingénu” - 2è trimestre 1988
• La Momie - Revue “L’Ingénu” n° 18 - Janvier/février 1990
• Mon Arbre - Revue “Lieux d’Etre” n° 11 (Et moi d’arbres) - mai 1991
• Histoire - Revue “L’Ingénu” - 4è trimestre 1991
• La Lettera amorosa - Revue “Lieux d’Etre” n° 12 - hiver 1991/92
• Nuits d’Afrique - Revue “Lieux d’Etre” n°24 (Nuit(s)) - automne 1997

NOUVELLES

• L’Amateur de champignons - Revue “L’Ingénu” - 2è trimestre 1980
• Le Kaléidoscope - Revue “L’Ingénu” - 4è trimestre 1982
• L’Infirme - Revue “L’Ingénu” - 4è trimestre 1983
• Les Maisons - Revue “L’Ingénu” - décembre 1984
• Un Jour - Revue “L’Ingénu” septembre 1985
• Une Aventure d’Anna L. Revue “L’Ingénu” - 3è trimestre 1986
• Un homme de rien - Revue “Psychiatries” n° 77 - 1987
• Derrière la fenêtre - Revue “L’Ingénu” - mai 1988
• Un jour d’hiver - Revue “L’Ingénu” - 3è trimestre 1988
• J’ai rencontré Lol V.Stein - Revue “L’Ingénu” - 1er trimestre 1989
• L’Aveugle - Revue “L’Ingénu” - 2è trimestre 1989
• La fenêtre - Revue “L’Ingénu” - 3è trimestre 1990
• Rêverie - Revue “L’Ingénu” - 2è trimestre 1991

Deux recueils rassemblent ces textes et d’autres encore inédits :
- Le Kaléidoscope (81 pages)

- La Femme sauvage (97 pages)

ROMANS

- Quelque chose de l’Éternité – 318 pages – 2000
- Une – 103 pages – 2007
- Mère Afrique, Cette voix derrière les feuilles – 234 pages – 2004/2008/2013
- Ici, L’Ombre de la montagne – 77 pages – 2010
- Qu’importe que le monde n’existe pas si on le raconte – 251 pages– 2010/2013
- Les Herbes – 136 pages – 2009/2010/2013 à 2015


PEINTURE
Aquarelles - Expositions personnelles ou participation à des Salons
• novembre 1994 : exposition personnelle, "La fenêtre du Pral", organisée par le CROUS de l’E.N.S. Cachan
• mars 1998 : exposition personnelle - salle Petresco à Antony
• août 1999 : Exposition Académie internationale de Lutèce - Espace d’animation des Blancs-Manteaux - Paris IVème - Médaille de bronze d'aquarelle
• novembre 1999 : 13ème festival international de Gluiras (Ardèche)
• décembre 1999 : exposition personnelle, "Arborescences" - Maison de la Culture de Sceaux.
• du 11/03/2000 au 29/03/2000 : XXXIIème Salon international d’Ile-de-France à Bourg-la-Reine.
• du 24/03/2000 au 12/04/2001 : XXXIIIème Salon international d’Ile-de-France à Bourg-la-Reine.
• du 24/02/2001 au 9/03/2001 : exposition “Le Groupe des sept” - Galerie "Art Présent” rue Quincampoix - Paris IVè
• du 25/11/05 au 8/12/05 : Salon d’Automne du Cheylard (Ardèche)
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Ses oeuvres

5 oeuvres
  • La Femme sauvage - Anne cécile LECUILLER

    Publié le 12/10/2017

    13 nouvelles - 97 pages Le recueil "La Femme sauvage" rassemble 13 nouvelles autour du thème de la fragilité de l'instant. Instants de femmes, instants de regard, instants de vie.
  • LE KALEIDOSCOPE - Anne cécile LECUILLER

    Publié le 12/10/2017

    9 nouvelles de longueurs variées où apparaissent personnages et situations où dominée sens du dérisoire et de l'absurde.
  • LE RÊVE DE LA MOMIE - Anne cécile LECUILLER

    Publié le 09/01/2018

    Chantemesse 1979 - La sieste ensoleillée dans un champ. Au réveil (mais je n'ai jamais su s'il s'agissait d'un rêve ou d'une vision) la sculpture sur ma rétine d'un corps de femme allongée (noire ou lumineuse ou noire de trop de lumière je n'ai jamais su non plus) ou plutôt lovée sur elle-même. Sans savoir pourquoi non plus j'ai pensé à une momie, pris un crayon et écrit d'un trait sur le cahier qui ne me quitte jamais, ce poème, le seul de ce recueil qui, depuis presque quarante ans, n'ait jamais été retouché ou si peu : "Elle passe encore nue noire et claire..." Ont suivi des années de variations infinies sur ce thème d'une momie énigmatique qui a connu à peu près tous les désastres et toutes les renaissances, connu tous les découpages. Le hasard me les a fait retrouver, corriger et réorganiser l'ensemble pour la dernière fois, décidant de les abandonner dans une nouvelle barque à la dérive de son rêve...
  • MÈRE AFRIQUE, Cette voix derrière les feuilles - Anne cécile LECUILLER

    Publié le 20/12/2017

    Des parents dans la bulle de leur petit cercle colonial. Quatre enfants dans celle de leurs jeux et rêves, recomposant par l'imagination tout ce qui leur échappe du monde des adultes, d'une vie africaine à l'époque troublée de la décolonisation vécue à travers le prisme déformant du milieu blanc. Un narrateur écrivain à la recherche de ce monde de l'enfance. Sa fantasque compagne Lizzy, rescapée amnésique d'un bombardement et qui tisse son histoire dans la trame du roman d’Hugo. Les voix entrecroisées tissent celle du récit, voix d'Hugo et de Lizzy, d'Hugo et de ses sœurs, de leurs parents, et celles des boys, ordonnances, lingères et cuisinières que les enfants entendent parler de loin dans l'ombre des cuisines. Monde perdu de l'enfance, d'une histoire, mais aussi de l'Histoire coloniale seulement devinée et dont Hugo retrouve aujourd'hui le chemin, comme Lizzy celui de son identité, quand cette toile de fond rejoint le fil du récit et lui donne son sens.
  • Qu'importe que le monde n'existe pas si on le raconte ? - Anne cécile LECUILLER

    Publié le 19/11/2017

    Qu'importe que le monde n'existe pas si on le raconte ? (Fantaisie utopique) Un pays mythique situé chez Ceux des Sables, simples bergers du Désert. Un temps qui n'existe pas encore mais se réalise peu à peu à partir d'une tour/Ville/Monde en construction. Dans celle-ci : - Irving, l’Architecte, arrivé d’un lointain espace-temps, Manhattan-Google - Harane, Scribe et Gardienne-Vigie de la Tour - Son ami et peintre Leo, le seul à venir lui rendre visite à son étage (le plus haut) pour de longues discussions et planter son chevalet. - Enfin des Enfants, porteurs d’avenirs et de secrets, qui circulent sous terre dans une sorte d’infra-monde (égouts ? canalisations ?). En arrière-plan : la silhouette de Sarah-la Vie, mystérieuse et insaisissable. Un conte ? Un rêve ? Allez savoir...
 
 
 
 
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