Publié le 08/02/2021
« Le Géryville que beaucoup évoquent avec nostalgie n’a pas été seulement le petit village calme et propre où il faisait bon de vivre, surtout à la tombée de la nuit, et de danser sous les airs joyeux des accordéons et sous les effluves de l’anisette au grand bonheur des communautés européenne et juive mais il y avait aussi l’autre Geryville des indigènes musulmans laissés pour-compte qui, victimes de l’exclusion trimaient dans des emplois serviles pour survivre aux lendemains incertains. » BOUCHERIT Naceur