Salut, collègue !
Je peux t’appeler ainsi car je suis également à la retraite, et que d’autre part, dans toutes mes fictions, je glisse au moins une scène érotique. Mais parlons plutôt de la tienne. D’abord, les critiques, que j’espère constructives, la suite ne t’en sera que plus agréable.
– L’expression française : certaines faiblesses, des fautes (orthographe, grammaire, syntaxe…), des phrases parfois un peu trop longues… Bon, j’arrête là. On a beau lire et relire, il nous en échappe toujours, et je sais de quoi je parle. Après tout, nous ne sommes pas des écrivains, tout juste des « écrivaillons », donc je ne te jetterai pas la pierre.
– La ponctuation : elle est très importante et doit être aussi rigoureuse que possible. Les virgules doivent être mises au bon endroit, les points-virgules ne s’utilisent que très rarement en français…etc. Mais bon, il n’y a pas non plus de quoi se pendre, dès le moment où le texte reste compréhensible.
Passons à présent à tes chapitres :
Un mot sur le style : agréable, facile à lire et ne nécessitant pas l'usage fréquent d'un dictionnaire. Donc un bon point.
– Le prologue : superbe volée de bois vert sur les magistrats, les politiciens et les médias. J’adore et j’adhère !
– Chapitre 1 - Patricia : une fille comme je les aime. Une justicière qui va s’attaquer à la Justice. Vouloir piéger son « procu », bien joué !
– Chapitre 2 - Le piège tendu à ce malheureux débile mental qui va innocemment avouer au psy-flic qu’il a « violé » sa femme et abusé de sa belle fille. Faut-il être idiot pour tendre au psy un bâton pour se faire battre ? Quand au psy-flic, bravo : il l’a accouché sans forceps.
– Chapitre 3 - Patricia met son piège en place. Le malheureux proc va bien sûr y tomber tête baissée.
En bref, une histoire prenante qu’on a envie de poursuivre, ce que j’ai d'ailleurs fait. Donc à plus pour les chapitres suivants.