Publié le 18/12/2021
La création poétique est d’abord une violence faite au langage. Son premier acte est de déraciner les mots. Le poète les soustrait à leurs connexions et à leurs emplois habituels. Dixit Octavio Paz.Publié le 18/12/2021
Comment deux personnes qui ne se sont jamais rencontrées, ont-elles réussi à tisser des liens qui vont au-delà d’une simple amitié ? Comment deux étrangers ont-ils fait pour surpasser leurs différences et devenir deux compagnons inséparables ? Comment peut-on se sentir unis par des sentiments qui transcendent les idées reçues ? C’est autant de questions que, moi-même et Salaber, nous nous posons sans leur trouver de réponses. Les emails inclus dans ce volume que j’ai qualifié de lettres Kabylo-Basquaises, pourraient-ils nous en dire un peu plus ?Publié le 18/12/2021
Cette balade se veut une invite à une randonnée à travers les voies de la vie. Je souhaite la bienvenue à celles et ceux qui me rejoindraient sur ce parcours où nous ferons des haltes pour nous ressourcer, virtuellement s’entend.Publié le 18/12/2021
Bien que Ait Saada, mon village natal soit signé Idir, on a du mal à croire qu’une telle merveille puisse être le produit du travail d’une seule et même personne, tant ce blog est riche, complexe, troublant comme un impromptu de Schubert. Je ne doute pas que Ait Saada, mon village natal soit dédié aux internautes les plus intelligents, exigeants. Comme diraient les écossais : A masterpiece ! Signé : LisaBuzz.Publié le 18/12/2021
On repart toujours comme on est arrivé, ni pauvre ni riche, pas plus savant ou ignorant, exactement comme si on n’était jamais arrivé, ni avant ni après ! Ad vitam æternam…Publié le 13/12/2023
Au summum d’une gloire bien méritée après son passage à Bercy où il avait bercé des milliers d’admirateurs, l’Artiste continue de susciter une controverse. Personnellement, je vois en lui un personnage qui ne souffre d’aucune ambiguïté, il est sublime. Quant à la personne, il est comme tout un chacun avec ses qualités et ses défauts, nul n’est parfait.Publié le 18/12/2021
Ali le malchanceux qui n’a pas bougé de sa place sous son olivier, sa bouteille vide à côté de lui, ouvrit les yeux après ce cauchemar et se rendit compte qu’il avait trop bu et que la nuit commençait à tomber. Son regard pointé vers les branches de l’olivier, il essaya de sortir de sa torpeur en voulant se relever, et à peine eut-il relevé sa tête qu’une godasse puante lui écrasa la poitrine et le remit dans sa position initiale. Il avait en face de lui deux énergumènes avec leurs barbes hirsutes et leurs tenues de sanguinaires sortis tout droit de la forêt. Pendant que l’un des deux l’écrasait de son pied, l’autre sortit son poignard à la manière de « Hocine-El-Boucher »...Publié le 18/12/2021
Les deux amants se retrouvèrent encore pour se dire les mots les plus mielleux du monde. Ce jour-là, il y régnait une atmosphère que seuls les poètes et les romantiques pouvaient décrire. C’était trop beau pour Moumouh et Fadhma qui s’installèrent sous un cerisier. Le gazouillis des oiseaux, l’herbe, les fleurs, les arbres, les délicieux fruits, tout y était pour inciter les deux amoureux à aller au-delà des mots dits avec finesse….Publié le 18/12/2021
A travers ses bribes de souvenirs, M’hend nous plonge sans ménagement dans les méandres de la vie de ses personnages. Un récit douloureux, parfois drôle mais toujours émouvant. Les anecdotes relatées dans cet ouvrage, nous dressent un tableau réaliste de ce qu’était le quotidien des gens de cette époque dans cette partie de l’Algérie. Des personnages qui aspirent à la modernité tout en restant profondément enracinés dans les traditions, écartelés entre révolte et résignation. Des gens rudes et généreux, pauvres et dignes à l’image de leur montagne. Un quotidien âpre et monotone, en cette période de guerre, où seuls, les conflits, les mariages ou les affrontements viennent en modifier le cours. Des tranches de vie dans toute leur vérité et toute leur naïveté.Publié le 18/12/2021
Peu de temps avant sa mort, un pauvre paysan, travailleur journalier chez des gens, décida de laisser un legs d’un genre particulier à ses enfants. Il avait préparé trois boîtes, et dans chacune des boîtes, il avait pris soin de mettre une chose bizarre destinée à chacun de ses trois fils.