Publié le 17/01/2024
Le lendemain matin, bien secoué de ma fin de semaine assez mouvementée, vous vous rendez compte ? À huit heures du matin, au milieu de la nuit, un coup de sonnette insiste à ma porte, me tire du lit. Je passe ma robe de chambre en vitesse pour aller ouvrir, les yeux encore collés de la nuit, une gueule de bois à tous casser, pas habitué à boire autant. J’ouvre la porte, ma robe de chambre n’était même pas fermée convenablement, surpris par deux vraiment belles soubrettes, deux Chinoises, petites, à la peau très blanche, comme de la porcelaine, quatre jambes très fines, s’engouffrait sous leur mini, mini-jupe et se terminait là, entre les jambes, ou se tenait leur jolie cramouille déjà mouillée.Publié le 14/11/2020
La gentille petite Ruena, c’est transformé en monstre, belle, comme le jour, mais un monstre. Une fille devant la porte s’avance sur Ruena – Ruena, fiche le camp, nous ne voulons plus te voir. – Tu ne veux plus me voir, demande-t-elle ? – Non, le mieux tu fiches le camp. – Si tu ne veux plus me voir, dit-elle, rien de plus facile, lui plante ses ongles dans les yeux, et demande encore, qui encore ne veut plus me voir ?Publié le 11/03/2021
– Hé, négresse, tu as un client, pique-lui sa valise et son appareil photo, regarde, il ne fait même pas attention, j’envoie les enfants l’occuper, tu me fais passer tous ça, dit son amie. Jean-Luc pris ses feuilles, et tout en tirant son trolley, lisait ou essayait de lire ses quelques lignes en anglais. Il s’arrête, car des problèmes de compréhension, avec la langue anglaise, ou plutôt américaine, le pousse à réfléchir. – Alors Suzanne, Négresse, tu lui piques sa valise oui ou non ? Tu l’as déjà dans la main – Ferme ta gueule, à celui-là, je ne lui pique rein du tout, t’as compris ? Rien… du…. tous. Et toi non plus, c’est mon homme. – Tu es conne ou quoi ? tu vas pas bien dans la tête ? Tu ne lui as même pas encore parlé. – T’occupe, je te dis que c’est mon homme, et ce sera mon homme. Maintenant, tu fou le camp avec les gamins.Publié le 14/12/2023
– Comment va madame Housnia Dufournier ? – Correction monsieur Dufournier, il manque le va-cul-nue, regarde je suis de nouveau à poil. – Antoine, je n’arrive toujours pas à y croire, je suis vraiment marié avec toi ? Elle me pincePublié le 13/06/2021
Ce jour-là, je rentre de l’école bien après Éveline et je voulais la surprendre, fouillant dans mes affaires. À pas feutrés, je rentre dans la chambre dont la porte était entrebâillée et je surprends ma sœur. Non pas dans mes affaires, mais sur son lit, une serviette de toilette sous son cul, sa jupe relevée et sans culotte. Elle remuait ses deux doigts dans sa chatte et râlait doucement les yeux fermés. Je la regarde stupéfait, je n’avais jamais vu ça, je la voyais très souvent à poil, elle aussi, mais je ne l’avais jamais vu faire ça. Comme je pouvais me rendre compte, elle avait beaucoup de plaisir. Je m’approche davantage pour mieux voir, j’ai dû faire du bruit, elle sursaute et se dépêche de rabattre sa jupe. Elle m’aperçoit.Publié le 26/11/2020
Les esclave Yelena s’était tourné et enfonçait sa langue dans le vagin d’Irinushka, qui lui rendit la pareille. Irinushka lui enfonça délicatement, doucement d’abord ses deux doigts dans sa chatte, et continua dans un mouvement rapide de va-et-vient. Yelena a perdu le contrôle, ses deux doigts également dans la petite chatte d’Irinushka, ne bougent plus, seul son derrière, et dans un cri étouffé éjaculent assez violemment, dans une multitude de soubresauts, elle jouissait.Publié le 12/08/2022
J’étais encore plus surpris, qu’elle connaisse mon nom, mais surtout qu’elle me montra sa poitrine, sans que cela ne la dérangeât le moins du monde, d’une manière très naturelle, sans y faire plus attention, avant de se rallonger à nouveau, fermant les yeux. Elle m’ignorait maintenant complètement. Je la regardais toujours. Elle se faisait bronzer au soleil avec un micro bikini, qui ne lui cachait absolument rien de ses vraiment belles fesses. Ce qu’elle se faisait bronzer par contre, était pour moi une énigme, car elle était déjà noire, presque comme de l’anthracite, elle était d’une beauté qui m’attirait, comme un aimant. Je l’admirais toujours, je n’avais pas repris ma marche.Publié le 24/01/2022
Yasmine justement était une de ses filles qui avait misé sur moi et qui venait me relancer plusieurs fois par jour. Elle n’était pas intéressée de savoir si je rouspétais, elle voulait me connaître, je lui plaisais, c’est tout ce qu’elle voyait. Elle ne disait la plupart du temps pas un mot, me faisait juste comprendre qu’elle attendait un peu plus de moi, qu’un grognement. Elle était une aide éducatrice, et se débrouillait pour être mon aide. Comme aide, je l’aimais bien, elle comprenait vite, elle réagissait vite.Publié le 25/09/2022
Dans la pénombre, je voulus m’étendre avec elle dans son lit, mais je tombe sur son frère qui était la, je pouvais à peine le voir il faisait déjà nuit, il me prit par la main, glissant sa main entre mes cuisses. Je le laissai faire, c’était tellement beau, il me fit prendre place à son côté, il ne disait rien Tout d’un coup, ce fut comme une électrocution, un objet brûlant, dur et souple à la fois, s’enfonçait entre mes cuisses, c’était beau, je ne pouvais plus bouger, mais lui, il bougeait vite, très vite en vas et vient dans ma chatte,Publié le 14/12/2023
Elle se pencha un peu pour monter dans cette voiture électrique, me montrant, que non seulement ses cuisses étaient belles, mais également ses fesses, bien enveloppé dans une petite culotte rose à dentelle blanche, admirable. Je ne restais pas sans recevoir des fourmis dans les doigts, mais aussi dans mon pantalon qui gonflait.Publié le 19/09/2021
Les doigts de Jérôme s’enfoncent lentement dans son trésor qui la font se crisper et pousser des gémissements de satisfactions. Puis ses doigts s’agitent à l’intérieur, son bassin malgré sa douleur de sa cuisse se déchaîne. L’autre main de Jérôme lui caresse sa belle poitrine, ses mamelons qu’il prend en bouche, elle ne respire plus, elle pousse des cris de plaisir, qui deviennent de plus en plus fort.Publié le 23/04/2022
– Que fais-tu là ? C’est ma cabine, me dit-il. – Bien sûr que non, c’est notre cabine, nous allons faire les plongeons ensemble, nous ferons tout ensemble. – Même aller pisser ensemble ? – Si tu veux, pourquoi pas ? Je desserre déjà sa ceinture en laissant glisser son pantalon de survêtement au sol. – Léonie, je ne veux pas… commence-t-il mais pas très convaincu. Il proteste, je crois, simplement pour la forme et mes mains qui lui caressent le ventre le laissent sans défense. Léonie, et si on se fait prendre ?Publié le 13/08/2022
– C’est encore mieux, je viens ici en fait pour me cacher. – Waoo, elle est vraiment belle cette maison. Et lorsque tu viens ici, que fais-tu ? – Tu ne dis rien hein ? – Bien sûr que non. – Eh bien, je me mets à poil… – Tu te mets toute nue ? – Oui, puis je mets une serviette sur la table et je m’allonge à plat ventre dessus, j’appends mes cours, avec mon laptot, j’adore être toute nue. Pour réfléchir, je vais me coucher dans l’herbe et je me fais jouir. – Tu te fais quoi ? Personne ne peut te voir ? Ton grand-père peut te surprendre non ? – Je me fais jouir, tu ne le fais pas ?Publié le 25/07/2021
– J’aime bien ton cul, dit-elle. Elle décide de monter de mon côté, Tu as des fesses bien fermes, j’aime ça. Allez Benoît, tire-moi par la main. Par cet exercice, son corsage s’est ouvert, je pouvais voir sa poitrine en nature, belle, une peau basanée, surmonté de deux petits bitognos presque noirs, de très beaux objets, j’avais envie de les prendre dans ma main, dans ma bouche. En montant, elle lève la jambe, sa jupe remonte sur son nombril. Merde, pensais-je, elle n’a pas de culotte. Ça commence bien. Je dois rectifier mes dires, avec cette carrosserie-là, je ne vais certainement pas m’emmerder. Elle passe devant moi pour s’asseoir, sa chatte frottant mon nez et moi, qui lui regardait ses beaux nichons, qui se déplaçaient devant moi. Elle S’assied, en relevant sa jupe, démonstratif pour me monter son cul, laissant apparaître sa belle toison presque noire et commande le cheval, lentement. – Dis-moi la Marrie, c’est normal que tu ne portes pas de culotte ? – Cela vaPublié le 26/03/2022
Elle commence par frotter mon dos, mes fesses et mes cuisses pendant un bon moment, je sens la chaleur m’envahir, puis elle monte sur la table, étale une crème sur mon dos ainsi que mes fesses et mes cuisses, s’assied sur mes fesses, elle me fait déjà bander. « Merde, Il a vraiment un joli cul, il vient de se rendre compte que je mouille, mais c’est vachement bon de sentir ses fesses contre les miennes »Publié le 19/05/2022
J’aimais bien cette Nathalie. J’aimerais commencer des relations amoureuses plus approfondies avec elle. Je ne la connaissais depuis quelque mois déjà, mais elle n’en veut pas. Elle aime trop les filles quoiqu'également les garçons, quelques fois les deux mélangés. Elle ne veut pas se monopoliser sur moi bien qu’elle m’adore. Elle vient d’ailleurs très souvent me rejoindre, comme aujourd’hui. Alors, elle se tient là, nue devant moi ou dans mon lit.Publié le 07/02/2022
Que voulez-vous que je fasse avec une femme à la maison ? Qu’elle me mette tous en désordre ? Les femmes sont toutes pareil, elle ne laisse que du désordre. Je veux rester célibataire. – Cela n’est, pour moi pas très flatteur. – C’est pourtant la vérité. Cela est la raison de mon célibat, vous ne m’en ferez pas démordre.Publié le 27/05/2022
Nous nous retrouvions chaque jour au tennis, nous nous caressions dans les vestiaires, nus tous les deux, j’ai connu sa bite pour la première fois, son long objet, dure et droit comme un I, mais chaux et doux. Il me montra comment prendre sa bite entre mes mains, entre mes lèvres, lui faire éjaculer son sperme dans ma bouche, lorsque j’y pense j’ai encore des nausées. Je n’aimais pas du tout, mais pour lui faire plaisir, je le lui faisais à chacune de nos rencontres. Ça puait en plus. Je me dépêchais de tout recracher et de me rincer la bouche.Publié le 13/12/2023
Cela en était trop, mes mains glissèrent maintenant sur ses fesses, je la tirais contre mon pénis qui bandait, qui sortit de mon pantalon sans que je sache comment il était sorti. Ma bite s’enfonçait à présent entre ses cuisses, avec rapidité, je n’avais jamais été aussi vite à baiser, j’allais à une vitesse vertigineuse. Au quatorzième. Je la voyais me regarder, la bouche grande ouverte, mon pénis était déjà au plus profond d’elle. Elle avait arrêté de respirer, elle se cambrait juste en poussant des cris pour chaque coup de mon dard. Au treizième, après l’avoir buté une dizaine de fois, elle hurlait de plaisir. Au douzième et onzième, elle éjaculait sa cyprine Au dixième, elle jouissait, éclaboussait sa cyprine de tous les côtés. Au huitième et septième, j'éjaculais assez vite, dans son fourreau, sur sa chatte, sur son ventre et sur ses cuisses.Publié le 20/01/2024
– Dis-moi Muriel, tu te laisses faire ? Il peut te toucher de partout ? – S’il me le demande, je ferais même l’amour avec lui. – Et s’il veut mettre sa bite dans ton cul ? Tu diras oui ? – Oui, je ferais tous ce qu’il veut, absolument tout. – Tu n’es vraiment pas aidée, ce n’est plus de l’amour. C’est de la folie.Publié le 15/07/2022
Pendant la photo de groupe, j’ai quand même eu quelques problèmes, Marie Josiane, mine de rien avait mis sa main sur ma bite, Yuan bien serré contre moi, me caressait le cul gentiment, ce que je m’attendais le moins, Messagine, dont la poitrine était très ferme, appliquait ses seins dans mon dos, et me caressait les fesses sans relâche, j’avais quatre mains sur mes fesses. Pour ma part, j’avais pris un des seins de Juan dans ma main, le pétrissant, ce qui apparemment lui plaisait bien, et je malaxais le cul de Marie Josiane, qui roucoulait comme une bien heureuse. Je n’avais qu’une peur, celle de bander trop vite, et que l’on peut voir le résultat sur la photo.Publié le 25/09/2022
Mettre la main au cul d'une fille, est très dangereuse, quelque fois pendant toutes ta vie Lorsqu’elle s’assiéra, tu poses ta main sur sa chaise pour lui tâter le cul. Eh bien moi, comme un con, c’est ce que j’ai fait. Cela ne me gênait pas, je venais justement de rejeter mon ex, on était même vraiment fiancé. Je pose donc ma main, la paume en l’aire sur sa chaise, au moment où elle s’assied. Ses douces fesses chaudes se posent sur ma main, j’avais fermé les yeux, je peux les sentir frémirent (ses fesses), j’allais même bander si… Une douleur atroce ne m’avait pas saisi le nez, maintenant en sang. Elle m’avait aligné un adorable coup de poing au milieu de la figure, précisément là, où se trouvait mon nez.Publié le 23/04/2022
Un jour de grosse chaleur, je me suis dévêtue et j’ai aimé être nue dans ma brousse. Je me plaisais beaucoup. Personne n’était là pour voir ce que je faisais. Je me suis même mise à me faire jouir, là, dans ma jungle, dans mon paradis, n’importe où, là où je me trouve et j’adore ça. Cela me plaît tellement que je me fais jouir très souvent et de plus en plus souvent. Cela fait d’ailleurs plus d’un an que j’y viens. J’ai la permission de rester là du vendredi au dimanche pour y passer la nuit et je ne m’en prive pas, car il n’y a personne pour me regarder.Publié le 05/12/2021
Son gland faisait le chemin pour sa verge, dans mes chaires, je le sentais se mouvoir, brûlants dans mon fourreau. Un moment il me fit mal, la douleur disparue presque aussitôt pour laisser la place à la jouissance qui devenait de plus en plus forte, il pistonnât sa verge au plus profond de moi avec force, la sortie, puis la propulsait à nouveau et pour chaque attaque je poussais un cri de plaisir. Mon corps se mouvait dans toutes les directions, il avait de la peine à me soutenir, mon ventre soudain se crispa à me faire mal, puis dans un cri, il se détendit, j’éjaculais de nouveau en l’entraînant. Je sentis dans mon antre, dans mon fourreau les poussées violentes de son sperme, il râla comme un gorille. Je glissais lentement sur le sol, il ne me retint plus. Ses giclées continuaient, mon corps en était tout inondé. Un moment, nous regardâmes mon trésor qui expulsait le sperme de Maxime, taché de mon sang.Publié le 23/11/2020
Après s’être dépucelé, nos puceaux continues d’expérimenter avec le sexe, cette fois, en route pour le gros-du-Roy.Publié le 23/11/2020
Les filles qui les ont aidés dans leur dépucelage, n’en reste pas là.Publié le 26/01/2024
mon justaucorps ? Je l’ai mis ce matin, je n’arrive plus à le retirer – Tu prends mon justaucorps par le bas, tu le tires sur toi, pendant que je me dégage. Je crois que c’est le meilleur moyen de le quitter. il ne bougeait pas, peut-être par ce qu’il était mouillé justement. Tu prends les épaules, les bretelles et tu le retournes, comme une chaussette. C’est ce que je fis, le justaucorps, me découvrit en premier lentement les très attractifs, petits seins d’Olga, lentement, un à un, ils se montraient, avec un « FLOP » en sortant du justaucorps, le justaucorps descendait lentement, je tirais le vêtement des deux mains ver le bas, avec force, le vêtement continua de descendre lentement, elle avait posé ses deux mains sur mes épaules. La poitrine était complètement libérée et d’un seul coup, le vêtement glissa jusqu’au sol ; j’en avais perdu l’équilibre, je me retrouvais à genoux, le nez enfoui dans sa chatte, mes maiPublié le 11/09/2021
J’étais énervé, eh bien ferme les yeux, lui dis-je, fait attention, si je m’arrête, tu vas embrasser mon cul. – eh… Tu peux me parler sur un autre ton, non ? Nous repartons, elle ne dit plus rien, elle a fermé les yeux, mon pantalon descend, mais, sa marche comme sur des roulettes, elle arrive à éviter même tous les obstacles, malheureusement, sauf un. Je m’arrête brusquement, j’avais fait mon calcul, son nez se plante entre mes deux fesses, sa bouche atterrie, elle aussi sur une de mes fesses. Elle trépigne de colère et me retourne une claque sur le derrière qui résonne dans toute la contrée, ces cinq doigts ont marqué, ça, je ne l’avais pas calculé, elle a elle-même pris peur de ce qu’elle venait de faire, pris peur que je ne le veuille plus. Et me caressait machinalement les fesses.Publié le 25/11/2020
Les Suzettes et Princesse se rendent à Cap d'Antibes. Au lieu de trouver une belle habitation, se retrouve à leurs grande surprise, dans un club d'échange de couple.Publié le 10/12/2023
Il y avait bien un jeune garçon, Adrien qui me plaisait plus que beaucoup, mais j’avais l’impression, qu’il est déjà en main. Merde, cela va faire comme l’année dernière, je vais me retrouver seul. Nous voici à notre troisième semaine, et je n’ai toujours pas raccroché un mec.Publié le 16/11/2020
Dans la nuit, je fus réveillé presque en sursaut, Mariette avait pris mon pénis entièrement dans sa bouche, et avais posé son petit trésor sur mes lèvres, qui s’offrait grand ouvert à ma bouche et laissait couler à flot sa cyprine qui m’inondait le visage. Ma virilité ne mit pas longtemps à réagir ! à grossir, grandir, raidir, en fait contre mon gré. Je me sentais violé par ma cousine. Je n’aimais pas cela, je n’aime pas que l’on me force la main. Il faut dire que son coup avait réussi, elle avait bien préparé son coup. Bon gré, malgré, je me mis à déguster le breuvage qu’elle m’offrait en abondance, pendant que dans sa bouche, mon pieux était massé de ses lèvres et de sa langue, mon gland devenait rouge atomique,Publié le 13/11/2020
Dans un stage de Natation pour colonie de vacances, Les Aides monitrices se décident de présenter Maurice complètement nu à Monique qui en était tombé amoureux. Monique comme Maurice son puceau, et se procure un livre pour aller plus loinPublié le 01/01/2022
La fille se trémoussait sur le sable en poussant des cris et lui, il lui enfonçait et retirait sa grosse bite, sans ménagement dans ce con trempé grand ouvert. Je voulus m’asseoir au sol, pour les regarder faire, un peu cacher, la fille souleva la tête et je restais, la bouche ouverte, c’était Évelyne. Mon ami avait eu raison.Publié le 11/12/2022
Un jeune Ukrainien du Dombass se trouve courrier chez les séparatistes. En cours de route il fait une prisonnièrePublié le 26/08/2021
Elle me fait asseoir sur le tabouret et après m’avoir bien mouillé fait mousser le shampoing sur ma tête, sa cramouille qui se dandinaient sous mes yeux, je lui pris ses fesses dans mes mains, la tira contre mon visage, ma bouche directement dans son antre. Elle est surprise, ce qui me donne le temps de bien entrer ma langue et de trouver son clitoris.Publié le 15/07/2022
Docteur, demande Nikola, qu’elle est cette thérapie ?– Lieutenant, cette nouvelle thérapie se nomme : « Organisation de sexe en groupe ». Vous estes marrants, à cette vitesse, je n’ai pas le temps d’organiser quoi que ce soit. Nouvelle sélection Trois jours plus tard. Nikola avait un nouveau programme qui semblait être encore plus dangereux que la dernière fois, Le commandant demande : Bien mes demoiselles, Lieutenant Nikola, à de nouveau besoin de quatre !!! vo !!!lon !!!taire Nathalie, Sophie, Catherine et Anna avaient déjà fait un pas en avant, sans attendre la fin de la phrase. Attendez, attendez, mes demoiselles, vous ne savez pas encore de quoi il s’agit. Mon commandant, répond Catherine, avec le lieutenant Nikola, nous n’avons pas besoin de le savoir.Publié le 21/11/2021
– Allô ! Allô ! C’est qui à l’appareil ? Criait-elle. – Est-ce bien vous qui louez une chambre indépendante ? – Oui monsieur, c’est moi, je ne sais pas ce que vous appeler indépendante, mais c’est moi qui loue, une chambre, oui monsieur. – Madame, j’aimerai… – Je suis mademoiselle monsieur, j’y tiens. On m’appelle ici la Margotte. Cela ne sert à rien de poser des tas de questions au téléphone, vous venez, vous regardez, vous me dites, c’est d’accord, je vous prépare le lit, vous me dites ce n’est pas d’accord et vous repartez. Vous comprendrez monsieur, moi j’ai mes deux vaches et un vau, il faut que je m’en occupe et ça fait du boulot. Je n’ai pas de temps à perdre au téléphone.Publié le 24/05/2021
Martine se retourne pour lui dire non, mais il est trop tard. Son membre, c’est enfoncé sans douleur de plus la moitié du chemin et continu sa progression. Elle se cambre, non pas de douleur, mais elle commence à sentir ses Jouissances monter dans son corps. Geneviève, approche le gland de Julien, le dirige dans la caverne de Martine. Elle commence à crier de plaisir, ses pieds ne touchent plus terre. Geneviève passe en dessous de Julien, pour les exciter tous les deux de sa langue. Julien est étonné, il jouit, mais n’éjacule pas encore. Ils s’embrassent, se serre l’un contre l’autre. La jouissance de Martine est très forte. Marcel se retire, Julien entraîne Martine sur le sol.Publié le 14/09/2022
– Maximilien, on recommence, c’était trop beau. – Non, je dois travailler, je dois grimper pour aller chercher tes affaires, je dois t’emmener à Luc-en-Diois. Elle recommence à exciter mon corps, le caresser, l’embrasser. Je devenais mou, je me laissai faire, sans aucune résistance. – Maximilien, dit-elle, aller chercher mes affaires, nous rendre en ville, cela peut attendre. Faire l’amour, cela ne peut pas attendre, j’ai attendu trop longtemps, je ne savais pas que c’était si bon, aussi beau, encore Maximilien, j’en veux encore, aller vient.Publié le 01/02/2021
Une jeune fille après avoir bu une substance dans une disco devient Aveugle. Son père la transfère dans une clinique, elle tombera amoureuse de son chef infirmier.Publié le 31/07/2021
Je ne pouvais rien voir, mais j’étais sûr que la fille ne pouvait venir que de l’autre tente. Elle caresse mon bijou, elle commence lentement à le branler. Je lui attrape la main. Pour avoir plus de liberté de mouvement, je fais glisser mon pantalon avec mes pieds sur mes chevilles. Je roule la fille dans mon duvet qu’elle avait ouvert, je tire la fermeture, elle est prisonnière, dans mon duvet avec moi. Elle le sait, elle ne cherche même plus à se sauver, mais il m’est toujours impossible de la voir, de la reconnaître.Publié le 27/07/2023
Je suis Ruena, des Philippines. J’ai dix ans à peine, ma maison est un carton que je partage avec mon frère. Il a quatorze ans. Mon père ? Je ne l’ai jamais connu, ma mère quant à elle, elle me montra l’art de la récupération de tous les matériauxPublié le 23/11/2021
– Ochsana, t’est à poil ? Me demande-t-il – Non, j’ai encore mon t-shirt et ma culotte. Pour s’en assurer, il fit glisser sa main sur mon ventre pour atteindre ma culotte en passant par mon pubis. Je mouillais de plus belle, je n’osais même pas lui dire d’arrêter, il y mettait les deux mains, maintenant, tenant ma volumineuse poitrine entre ses mains, il me caressait. Je l’ai tout de même stoppé. – Ochsana, j’aime caresser ton corps, tes seins. – Tu ne veux pas encore me baiser des fois ? – Si tu me l’autorises, pourquoi pas.Publié le 15/03/2022
Il n’était pas facile de faire son choix sur le parking, beaucoup étaient accompagnés, et va savoir à quoi ressemble le pénis endormi d’un homme dans son pantalon. Elles crurent en avoir trouvé un. Princesse et moi avions disparu dans le bureau, du fait que Princesse, comme à son accoutumé, était nue et qu’en plus, elle n’était pas intéressée du tout de les voir faire.Publié le 23/11/2020
Les Suzettes sont à l’université de médecine à Lille où nous habitons, et moi encore au collège. Par contre, elles me traînent partout, même au campus, bien que collégien. Elle se charge de mon éducation… sexuelle. Un jour, maman leur a donné une correction, Elles m’avaient donné leurs seins à la bouche, elle voulait m’allaiter disaient-elles, j’avais 15 ans. Maman est arrivé au moment où je léchais assidûment les seins de mes sœurs.Publié le 18/06/2021
elle ne veut toujours pas que je sorte. Elle se roule sur moi maintenant. – On recommence ? Demande-t-elle J’aime beaucoup, c’est pour cela que je ne veux pas de grosse bite. – un peu plus tard si tu le désires, laisse-moi souffler. Elle se redresse assise sur mes cuisses, cherche ma bite dans le noir. Elle pousse un cri effroyable. Ma bite dans une main, l’autre devant sa bouche.Publié le 05/08/2023
J’étais obligé de mettre ma main sur ma bouche pour ne pas éclater de rire. Par contre, j’avais une vue splendide, sa chatte ouverte et humide saillait devant mes yeux, je sentais son odeur, encore plus lorsqu’elle m’enfonçait sa grotte sur mes lèvres. La fille se mit en colère.Publié le 03/01/2024
J’étais le grincheux timide, j’avais même peur des filles, j’avais même peur d’elle. Uniquement Yasmine que j’avais acceptée, ce qui en fait ne me déplaisait pas. Elle était en fait la seule qui pouvait m’approcher, me toucher. Ensemble, sous la douche, elle avait le droit de me laver le dos, de me sécher. Elle était une exception.