Publié le 19/08/2017
(...) je suis un paradoxe ambulant... J’ai deux prénoms qui ne se composent pas. J’adore les bébés et donner la vie fut la plus horrible des expériences. Je fais des gorges profondes à mon conjoint quand j’ai un mal de chien à avaler un comprimé (...) Je ne chie qu’une fois par semaine (...) je suis une dépressive enjouée, ayant déjà eu des envies suicidaires tout en fuyant la mort comme un gay devant un vagin.